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Yohan

Yohan

55 ans dont 25 passés dans le secteur de la formation professionnelle, et 30 à explorer la vie. Ce qui me plait au plan professionnel : les questions d’emploi, d’économie, me plonger dans l’univers secret des métiers (celui du charpentier de marine, du tonnelier,...).
Mes goûts ?
Me délecter en trempant un bout de pain dans l’huile d’olive crétoise, faire griller des sars sur la plage avec de bons potes en sirotant du vinho verde, plutôt qu’un safari photos au Kénya, les chutes du Niagara.

Tableau de bord

  • Premier article le 26/09/2007
  • Modérateur depuis le 19/10/2007
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Derniers commentaires



  • Yohan Yohan 9 novembre 2007 17:22

    Alors là, je ne suis absolument pas d’accord. Et j’ajoute que je suis assez bien placé pour garantir que si un futur notaire ou policier ne met jamais les pieds dans la réalité, il risque de ne rester que sur sa représentation tronquée de son métier. Sachez qu’en matière de validation d’un projet d’orientation, le stage en milieu de travail a de grandes vertus. Pensez vous sérieusement que c’est en regardant les séries policières qu’on peut savoir comment se vit le métier de l’intérieur. Ex : Si vous avez choisi d’être flic en regardant Navarro à la télé. Vous risquez fort d’être décu smiley. D’ailleurs pour les métiers de pharmacien ou médecin, vu la durée des études, ce serait francheùment dommage de se rendre compte 7 ans après que l’on n’est vraiment pas fait pour ce métier. J’en connais un a qui choisi celui de médecin sur les bons conseils d’autrui. Résultat des courses : aujourd’hui il est photographe et n’exerce plus. Chaque matin, il se levait avec la boule au ventre tant son métier le faisait chier. Aujourd’hui il fait le métier qu’il a choisi, après l’avoir testé en pratique.



  • Yohan Yohan 9 novembre 2007 15:41

     : «  »« Mais : que faire pour les étudiants qui n’ont pas pour projet d’entrer dans une entreprise »«  »

    plan B : leur donner une tétine smiley



  • Yohan Yohan 9 novembre 2007 15:32

    «  »« Mais : que faire pour les étudiants qui n’ont pas pour projet d’entrer dans une entreprise »«  » ????? c’est plutôt votre commentaire qui est surréaliste. Et ils sont appelés à faire quoi vos étudiants ?, à se gargariser de connaissances. Moi je veux bien mais le contribuable que je suis n’est pas prêt à payer dans ces conditions. Si l’étudiant veut voyager, il faudrait aussi qu’on lui finance ses voyages ??? smiley



  • Yohan Yohan 9 novembre 2007 13:29

    Les étudiants peuvent-ils réfléchir, se poser et arrêter de se laisser bourrer le mou par une dizaine de leaders inféodés à des doctrines d’un autre âge ?.

    Réfléchissez un instant à ce que l’implication des entreprises pourrait apporter à l’université.

    Si elles étaient seulement invitées à participer à l’élaboration des contenus des diplômes, nul doute qu’on cesserait d’inventer des diplômes ronflants (genre Master politique de la ville) remplis de contenus théoriques stériles et plus généralement, des cursus universitaires qui débouchent sur le néant.

    D’ailleurs, aucune formation ne devrait être proposée sans alternance véritable avec l’entreprise. C’est le meilleur moyen de vérifier si ce que l’on apprend en fac correspond réellement aux besoins de son entreprise.

    Il y avait dans le passé un dispositif très intelligent baptisé « nouvelles qualifications ». Tout contenu de formation ne pouvait être élaboré sans l’entreprise et c’était aussi le meilleur moyen de garantir les débouchés. La mesure s’est évanouie on ne sait où et ces messieurs de l’ingénierie pédagogique de l’Education Nationale ont repris leurs mauvaises habitudes.

    Dans mon métier, je vois tous les jours des jeunes sortir à Bac +5 et qui ne sont opérationnels en rien, ou presque rien et qui connaissent à peine les métiers auxquels leur formation était censée les préparer. Les métiers, c’est tout juste s’ils en découvrent la réalité et l’existence en dernière année de Master, lors du stage en entreprise. Souvent même, ils prennent seulement conscience à ce moment là de s’être fourvoyé. Un gâchi monumental.

    Valérie Pécresse propose, il me semble, l’orientation active. Bien, ça me parait couler de source et il est temps qu’on s’en aperçoive. Mais vos leaders étudiants politisés vont encore vous faire croire à une sélection déguisée. C’est de là que vient le problème. Quand cessera-t-on de voir tout par le petit bout orienté de la lorgnette et de se laisser manipuler par des gens qui ont intérêt à ce que rien ne change ?



  • Yohan Yohan 8 novembre 2007 22:31

    Pas de problème bien sûr

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