Pour réaliser cette réforme il faut réaliser une réforme monétaire, et notamment le recours de la planches à billet pour ne plus se financer par les banques qui ne voudront plus nous preter ainsi qu’un controle des capitaux.
Votre proposition ne fera pas bouger beaucoup les chiffres du chômage. En effet la priorité aujourd’hui est de creer des emplois et non de modifier les allocations.
Je pense qu’il faut faire deux choses. La premiere est une baisse de la TIPP autour de 20% qui couterai à l’Etat 3 milliards d’euros en parrallèle avec un soutient au transport propre.Et quand nous auront trouvés un véhicule propre qui marche bien nous augmenteront la TIPP pour inciter les automaubilistes à prendre ces véhicules.
Rien que la premiere phrase est mauvaise. Vous dites :De nombreuses voix parlent d’un retour aux monnaies nationales, en justifiant les problèmes nationaux actuels par la mise en place de l’Euro. Cette idée n’a en fait pas lieu d’être.Donc les français ne devrait pas avoir d’opinion propre mais suivre ce qu’on leur dit sans réfléchir.
D’abord, faire du clientélisme politique pendant 50 ans en s’endettant davantage, n’est pas particulièrement lié à l’Euro. Ce que l’Euro a permis de faire apparaître, c’est la gestion budgétaire catastrophique de la majorité des états Occidentaux. Ce que vous dites est en partit vrai mais il y a deux questions à se poser. La premiere : D’ou vient la dette de la France ? Et la deuxieme : Ou se trouve la responsabilité de l’euro ?
-Réponse 1 : La dette vient du fait que l’on a relancé a monétiser la dette par la banque de France.
-Réponse2 : L’euro est en partit responsable en affaiblissent la croissance et à cause des plans de renflouements.
Il faut voir les vrais raisons de fonds à la dette et non le superficiel.
L’argument un peu plus subtile, mais tout aussi erroné, en faveur du retour aux monnaies nationales, est celui de la compétitivité. Certains disent qu’en retournant au franc français par exemple, et en le dévaluant, la France gagnerait en compétitivité face à l’Allemagne. Ce qu’on est en train de dire ici, c’est qu’au lieu de baisser le salaire de l’ouvrier français de par exemple 5 unités monétaires à 4 unités monétaires, on va simplement lui dire qu’il est toujours payé 5, mais que ses 5 unités n’achèteront plus que 4 baguettes au lieu de 5.
Bien sûr, dans le cas de la dévaluation comme dans le cas de la réduction de salaire, l’ouvrier va finir avec 4 baguettes. Donc cet argument d’augmentation de la compétitivité ne revient qu’à comment réduire le salaire de cet ouvrier sans que ce dernier comprenne ce qui se passe. On a ici une belle illustration de ce que l’Etat pense de ses citoyens, et il est toujours étonnant de voir autant de citoyens espérer des solutions venant de l’Etat.
L’effet d’une dévaluation est de réduire le coûts pour l’importateur de nos produits et n’ont de réduire le pouvoir d’achat des salariés.D’ailleur en 1968 la dévaluation n’a pas provoqué d’inflation. Le lien n’est pas automatique. Un économiste, Jean Jacque Rosa il me semble a calculé que l’inflation serait de 2,5% ce qui n’est pas énorme. J’ajoute que l’inflation ne doit pas être une peur absolu. En effet nous sommes certain de faire des efforts, mais alors qu’il soit utile. Car en effet cela permettra d’améliorer la compétitivité des entreprises qui pourront avoir un supplément de profit et donc une augmentation de salaire.
Et maintenant que dire de ceux qui ont économisé un capital ? Ceux qui ont dépensé moins que ce qu’ils ont gagné ? Ceux-ci vont voir le pouvoir d’achat de leurs économies se réduire. Il faut bien comprendre que le résultat net d’une dévaluation est zéro : ce que les épargnants ont perdu, quelqu’un d’autre l’a reçu (en général l’Etat). Donc on se retrouve avec moins de capital à investir, et à encourager le comportement de cigale dans la population. Même si sur le court terme il peut y avoir des signes d’amélioration, le moyen/long terme est toujours mauvais.
Avec une partité 1E=1F les épargnants ne perdront rien au niveau national.
Ensuite j’ai bien crus comprendre deux choses :
-La premiere c’est que tu as horreur de la planche a billet. Pourtant la BCE en a fait pour 1000 milliards d’euro. D’ailleur 100 milliards a creer c’est seulement 5% de la masse monétaire donc cela ne provoquera pas d’inflation comme je le démontre grâce à un graphique dans un article que j’ai demandé en publication le 5 août et qui n’est toujours pas valider : Les raisons de la dette public.
-La deuxieme chose c’est que tu veux un Etat libéral car tu pense que l’Etat a un niveau de dépense public trop importante. Je vais te montrer un exemple. La Suède, un pays avec un poid de dépense public bien plus important que la France a une croissance entre 6 et 7% donc l’un n’empêche pas l’autre.
Il est vrai qu’elle se sait européenne et a compris depuis longtemps son destin continental, à la différence d’une France devenue folle et qui, dans le sens exactement opposé à celui impulsé par De Gaulle, qui était une France européenne, lorgne vers la Françafrique.
Votre analyse n’est pas bonne. En effet, le général de Gaulle n’était pas européen il s’est juste servis de l’Europe pour essayer de controler l’Europe. Pour plus de precision allez voir le dossier : De Gaulle était-il vraiment pour l’Europe sur le site de l’upr.
S’il faut que l’Europe mette en place en Grèce une tutelle rigoureuse, qui devra tenter d’épargner le plus de souffrance possible à la population grecque, tout en lui obtenant un taux d’intérêt très réduit, en s’en prenant en revanche aux « profiteurs de crise », qui sont de la même nature morale que les profiteurs de guerre, il faudra aussi que l’Europe mette sous tutelle la France et l’oblige à une politique enfin responsable, bien loin des trahisons de la « gauche » et des lâchetés de la droite depuis plus de trente ans. La France aussi doit être réformée et elle ne pourra pas l’être de l’intérieur.
Donc vous baffuez la démocratie. Mais c’est le sens même de l’UE donc c’est cohérant.
Les pays européens devront en premier lieu former une seule et même nation, capable de garantir aujourd’hui aux créditeurs qu’ils pourront les aider s’ils venaient un jour à être dans le besoin. La nation européenne devra se doter d’une Constitution, d’une structure légale, d’unpouvoir unique assurant le respect de la loi et d’une armée commune pour se défendre contre l’étranger. (…) Malheureusement, les conditions préalables à la naissance d’une nation ne se réaliseront pas tant que les pays européens, et en particulier la France, se montreront réticents à l’idée d’abandonner une part de leur souveraineté nationale. »
Il n’y a pas et n’aura jamais de nation européenne. En effet pour former une nation européenne il faut un peuple européen hors le peuple français ne peut se fondre avec des peuples qui n’ont pas la même culture la même histoire... Ensuite concernant la constitution européenne il y a déjà eu un vote et ils ont votés non. Ensuite pour l’armée européenne elle sera controlé par les Etats-Unis, les pères de l’Europe. En effet la politique de défense de l’Europe est piloté par l’OTAN.
En conclusion je dirai qu’il faut abandonner ce mythe des européiste qui consiste a dire qu’on est plus fort ensemble et revenir à une France souveraine pouvant redevenir une grande nation et pas une vulgaire région européenne.