« Sur la construction européenne, je crois que nous devons sortir de la politique des petits pas pour accepter un saut vers des Etats-Unis d’Europe. Derrière cette ambition, je propose que tous les membres de la Commission européenne soient issus du Parlement. Je propose également que l’on associe davantage les Parlements nationaux aux décisions de l’UE, pour avoir un véritable contrôle démocratique. C’est la condition sine qua non pour une union politique. Nous devrons aussi aller versune harmonisation sociale et économique, avoir un ministre de l’Economie et des finances unique. »
Il faudrait peut être ce renseigner sur la constitution allemande qui interdit une Europe fédérale. Donc cette utopie peut être mise à la poubelle.
Concernant les institutions, il faudrait à l’Europe : - un Président, dont l’élection au suffrage universel permettrait au débat sur le projet européen de se traduire dans les urnes ;
- un Parlement de plein exercice, représentation directe des citoyens, doté du droit d’initiative législative, avec des députés appartenant à des partis européens, élus sur des programmes européens ; - un véritable exécutif, qui ne ressemblerait plus beaucoup à l’actuelle Commission, laquelle se comporte trop souvent en secrétariat du Conseil européen ou en terre d’élection des lobbies ;
- une chambre « haute », représentation des Etats, avec disparition ou transformation radicale du Conseil européen ; - une banque centrale sous le contrôle du pouvoir politique, lui-même régulé dans le domaine budgétaire et monétaire par une « Cour des comptes » aux compétences élargies.
Dans ces conditions, les citoyens européens auraient une chance de choisir une politique pour l’Europe et de la voir appliquer.
Et comment aller vous imposer ça à la commision européenne qui n’en veut pas et à l’Allemagne qui ne peut pas. L’UE est irréformable.
« sans approfondissement du projet européen, toutes nos promesses resteront lettre morte ».
Pour que la phrase soit correct, il faut la prendre dans un autre sens. La phrase juste est :"avec un approfondissement du projet européen, toutes nos promesses resteront lettre morte. En effet c’est la commission européenne qui dirige et qui recale toute les promesses des candidats.
Le gouvernement grec est entrain de découvrir progressivement que l’euro et les politiques de l’UE sur la création moonétaire sont une mauvaises choses. Je pense que la Grèce va finir par demander sa sortie de l’Union monétaire pour retrouver sa monnaie national qui d’apprait une étude se dévalurait de 57% lui permettant a nouveau d’exporter et de faire marcher le tourisme
Je vais répondre au principale question et les arguments des pro-euro :
-1er(question) : a quoi sert la sorti de l’euro : elle sert a plusieurs points. Premièrement la possibilité de dévalué notre monnaie, retrouver notre liberté monétaire, échapper a l’implosion programmé de l"euro, en finir avec l’article 104 du traité de Maastrich qui empêche la Banque de France de preter au Trésor sans interet ( c’est quelque chose de plus important que de savoir si l’auteur pose les bonnes questions)
-2ème (argument) : les produits importés ( 30% je rappelle) augmenteront de 20 à 30% : c’est faux, en effet dans le prix du produits il n’y a q’une partie du prix qui est concerné par la dévaluaion
-3ème (argument) : on ne peut pas sortir de l’euro : alors pourquoi certaines zone monétaire se sont défaite
Je ne suis pas d’accord avec l’auteur sur la dévaluation et la recession. En effet la dévaluation en effet creer de l’inflation,mais elle peut être compenser par l’échelle mobile des salaires. Puis la dévaluation va creer de la croissance puis des emplois et donc les citpyens en prfitent conterement a la recession qui détruit des emplois
« dire que un franc sera égal à 1 euros c’est le propre des gen qui parlent vite » : cela depend. Si on parle de la parité au niveau national c’est necessaire, au contraire si l’on parle du taux de change c’est complètement absurde