bonjour Pour voir l’article, j’ai dû cliqué sur le résumé dans la page principale ce qui m’a ouvert une fenêtre publicitaire....Publicité qui est envahissante ici, sur ce site. MArie Bénilde qui dénonce dans son livre l’omniprésence de la pub sur Internet aussi, et bien, cette auteur en est une victime consentante de plus...LA parution de son article sur Agora n’a pas vocation de communiquer et interagir avec les lecteurs mais uniquement de promouvoir son ouvrage. Elle fait certes de la pub. Je n’ai fait que survoler les commentaires. Apparemment, MArie Bénilde n’a pas réagit. PAs participé...Son article ici est promotionnel, sur un site truffé d’annonces intempestives. Bel exemple de contradiction et d’incohérence entre discours et action personnelle/ J’ai remarqué que les gens VEULENT de la pub. Sont demandeurs. Surtout les jeunes ! Je pense sincèrement que ce gavage de pub se fait avec l’assentiment des cibles qui ainsi ont le sentiment d’avoir un rôle ou un petit pouvoir puisqu’on fait tant d’efforts pour les séduire. Ca valorise de faire partie d’un système. Ca donne un sens à son existence de se savoir partie intégrante d’un tout. Dans un monde dépourvu de profondeur et de sagesse, il reste l’artifice et le divertissement. POur résister à la pub, c’est à chacun de faire ce qu’il faut comme se prémunir d’une maladie contagieuse...On n’évitera pas le contact visuel de la pub mais on peut faire pas mal de trucs pour moins la subir. Il faut agir avant de critiquer, non ? Monsieur Agoravox, veuillez SVP réduire l’intrusion de pub sinon, je boycote.
Merci pour cet article qui décrit bien l’humeur, l’ambiance, le climat qui règnaient aux ANDD. On regrette de les avoir manquées... Le fond, rien de nouveau : il ne faut pas compter sur les politiques pour avancer...Mais la base, elle, oui !..et c’est tant mieux ! On finira bien par y arriver : que l’éducation à l’environnement devienne une priorité absolue dans un monde qui lui, n’attend pas les hypothétiques mesures et autres moyens que daigneraient apporter les pseudo représentants du peuple...Un monde qui perd sa biodiversité et ses équilibres naturels.... Eux, les élus, ont d’autres chats à fouetter ! Et une société dont la population serait amicale envers la nature, consommerait moins, se déplacerait moins, etc, ça ne va pas dans le sens des intérêts de l’oligarchie qui gouverne le monde. Le pauvre monde ! Peut-être que l’EEDD dérange...
Les réponses à l’article de RG sont absolument représentatives de l’état d’esprit actuel en France. Aucune surprise de ma part.
Il faut donc mettre les choses au clair : L’environnement est un enjeu qui chapeaute tous les autres : santé, emploi, sécurité.
dans un environnement détérioré, plus aucun avenir décent ne pourrait être offert aux enfants. Une seule chose à faire : coloniser une autre planète !
et c’est vous, chers adultes, supposés responsables et potentiellement parents qui préparez aujourd’hui le monde de demain. Hors, force est de constater qu’éduquer les enfants à la nature et les informer des enjeux environnementaux n’est pas une préoccupation des parents qui considèrent cela comme inutile ou vain et en tout cas ne devrait aucunement figurer dans les programmes scolaires.
ce positionnement est aussi scandaleusement irresponsable que de nier haut et fort qu’il n’y a pas de réchauffement climatique, vu qu’on se les gèle en hiver ou que le climat change naturellement depuis toujours et que nous, les hommes, n’y sommes pour rien.
L’environnement est un sujet qui contient tous les autres. ce n’est pas une matière en soi comme les maths ou le français, mais plutôt un fil conducteur interdisciplinaire absolument indispensable pour modifier en profondeur la perception que nous avons de la nature dans notre société et revoir notre relation à l’environnement.
Il n’y a absolument aucune contradiction ou concurrence entre les matières classiques de l’école et l’éducation à la nature. C’est complémentaire.
C’est du civisme. oui, l’environnement c’est du comportement avant d’être du savoir. Et plus ça ira plus les lacunes parentales et sociétales devront être palliées par des bases scolaires.
La société de consommation abrutit les masses qui se repaissent de gadgets et d’artifice pour combler un vide de plus en plus béant. La nature nous fait le plein de vie, d’émotion, de sensation, et féconde nos rêves tout en inspirant les arts. Il est certes gravissime de devoir reporter sur l’école une éducation à la nature qui n’est plus transmise par l’entourage, mais c’est un minimum nécessaire faute de mieux.
RG et ses amis ont raison de nous dire QUI freinent. Qui sont ceux qui bloquent. Qui sont ces fonctionnaires qui font reculer les choses. donner les noms...car il faudra qu’ils prennent leurs irresponsabilités. Prendre ses responsabilités vis à vis des enfants, voilà ce que beaucoup ici aussi ne font pas apparemment. Mais peut-être ne s’agit-il que d’un jeu ! de la provoc ! Sous couvert d’anonymat !
Bravo alors, merci de faire avancer les choses ! Merci pour les mômes !
bonjour à tous et félicitation pour vos commentaires forts divers et tous intéressants
Ma modeste contribution vous invite à lire Philippe Descola, anthropologue.
TOUT ce que vous dites de plus opposé se rejoint en un point : nous sommes TOUS issus de la même culture. Nous ne sommes ni des animiques, ni des totemiques, ni autres ;
Nous ne pouvons faire autrement qu’être issus de cette culture, imbibés depuis l’enfance de cette culture qui place l’homme à distance de la nature. Quelque soit notre posture politique, nos opinions, et même nos sentiments, nous le devons à notre ontologie naturaliste qui nous distancie de la la nature. Le mot « nature » par oppostion à culture signe cette appartenance. Les inuit, les amérindiens, les chinois, les indiens, n’ont pas de synonymes de nature. Car il n’ont pas besoin de créer un concept qui n’existe pas selon eux. Car il n’y a pas de dualime marqué entre nature et culture...Je m’arrête là. Descola approfondie. C’est essentiel de le lire afin de relativiser notre perception de la nature. L’écologisme disparaitra lorsque notre culture évoluera de telle manière que sincèrement et naturellement, sans y réfléchir, nous accorderont à la nature une valeur essentielle. Si notre société aimait profondément la nature et ses éléments (je parle de la nature sauvage.) notre économie et l’organisation sociale de
notre civilisation se feront en fonction de ce postulat de départ et un autre monde serait.
Hors, on ne change pas de culture comme de chemise. Un changement de culture aussi radical ne peut être programmé, heureusement ?. C’est un processus. Le moteur est l’éducation.
bonjour à tous et merci à Roland Gérard pour cet article qui permet de se faire une idée du climat de fraternité qui règnait, apparemment, au plateau des Glières. Intéressant que le mouvement de fond se tienne en milieu rural. Là où sont les racines, loin de l’artifice urbain.
CA donne envie de s’y rendre. Même si l’on ne n’est qu’un simple bougre. Du moment qu’on a dans le coeur la conviction que notre modèle de société n’est plus viable et que ce déclin entraîne l’homme et la planète à vitesse grand V. Moi je dis bravo et félicitation à tous ceux qui se mobilisent, se rassemblent, s’écoutent, s’entraident. Oui, la résistance !
Mais ce que ce lecteur à voulu dire, avec son "des paroles, des blabla, d’accord mais où est l’action. Le concrêt on peut proposer : chacun agit comme il peut et selon ses préoccupations et sa situation. Le tout s’est d’essayer d’être cohérent...Venir à Glières ça ressemble à un bain de foule d’acteurs, de militants et d’anonymes ; Ca peut pas être négatif. Et ça a le mérite, justement, d’être concret. C’est ce que RG dans sa réponse à voulu dire, je crois : Glières c’est déjà, l’action...
Alors, vipère, glisse au plateau l’année prochaine. On y va ensemble ?