Il est vraiment stupéfiant qu’encore aujourd’hui, certain prolonge les discours archaïques du XIXè . Que des personnes fassent encore référence à Marx ou à Proudhon montre dans quelle sclérose mentale ils se trouvent.
Tout les modèles communistes ou archéo-socialistes ont montré leur inadéquation avec le monde réel. Quand ces principes ont été appliqués ils ont créé le pire monstre, et le plus barbare. Dictature implacable et terreur d’Etat. Appauvrissement généralisé, administration pléthorique.
Et quand ces beaux principes ont voulu devenir des instruments de prédiction (puisqu’ils se prédendaient scientifiques) ils se sont trompé sur toute la ligne : Les multinationales devaient devenir de plus en plus importantes et absorber tous les autres, en appauvrissant le prolétariat. C’est tout le contraire : les grandes firmes d’il y a un siècle ont quasiment toutes disparues, les géant d’aujourd’hui n’existaient pas il y a seulement vingt ou trente ans : Microsoft, AOL, Google, Dell, ...
L’idéologie selon laquelle les pauvres s’appauvrissent est de la pure propagande. Rien qu’en France, le SMIC (en pouvoir d’achat) a triplé depuis mes années cinquante 323 euros en 1950, 1357 euros en 2005 (sources INSEE en Euros constant valeur 2005, revenu mensuel brut 169 heures). Et pourtant en France, nous ne somme pas, hélas, les champions en terme de libéralisme.
Idem pour le rapport revenu du travail et revenu du capital : Le Cerc (dirigé par J. Delort, et ayant Nicole Notat parmi ses membres) déclare dans un rapport sur la France entre 1993-2005 : « Le partage de la valeur ajoutée apparaît remarquablement stable. » ... « ... grande stabilité du partage salaire-profit sur la période étudiée, [...] se situant approximativement au niveau antérieur aux déséquilibres ayant suivi le premier choc pétrolier... ».
On peut toujours nier l’évidence, et parler du complot des multinationales, ça fait du bien !
Mais de grâce, ne cherchez pas à nous apitoyer sur l’absence de commentaire sur les discours aliénés et hors du temps des leaders gauchistes.
Six candidats d’extrême gauche, cela fait ... cinq de trop. Une position extrêmiste est toujours utile. Donc Le Pen et un gauchiste c’est bien. Plus, c’est beaucoup trop. Sans compter que six gauchistes, cela fait six fois plus de temps d’antenne pour des personnes qui ne représentent pas grand chose. Et ça multiplie le coût de la campagne. On a pas besoins de ça !