« Concernant l’homoparentalité et le mariage homosexuel, je crois que c’est une question complètement dissociée de l’homophobie. »
Et tout est dit quand Philou dit ça...
Effectivement, chacun met qui il veut dans son lit, mais réclamer le droit d’adopter, c’est déstructurant pour l’enfant, et réclamer le droit de se marier, c’est néfaste à la société. Le mariage a quand même été créé pour assurer des facilité au couple hétéro, afin qu’ils fassent des enfants, et contribue à la prospérité de la nation. Dire que le mariage favorise l’amour de deux personne est un non-sens historique : il favorise l’éclosion d’un foyer.
Il n’y a rien de choquant dans l’expression d’un rejet de l’homosexualité, tant qu’il n’y a pas rejet de l’homosexuel.
L’Eglise a par ailleurs le droit de dire qu’un comportement est amoral sans que vous y trouviez à redire. Tant qu’elle ne met pas en place des milices « anti-homo ».
Finalement, je dirais que les homophobes qui sont évidemment à combattre sont ceux qui se livrent à des attaques personnelles contre l’homosexuel. En revanche, ce n’est pas normal qu’on taxe d’homophobe celui qui remet en cause la promotion d’un comportement néfaste pour l’humanité, en ce sens qu’il n’est pas viable : si tout le monde est homo, nous n’existons pas.
Finalement, on peut critiquer le comportement, et en empêcher la promotion ou l’institutionnalisation (ça n’est pas la même chose que d’être hétéro), et sans être pour autant homophobe. Mais il faut surtout ne pas rejetter les personnes : chacun fais ce qu’il veut, tant qu’il ne nuit pas à autrui.
C’est ce que je pense.