Finael bonjour ; ton commentaire est très intéressant.
Tu pourrais le pousser beaucoup plus loin, en prenant en compte que tous les événements que nous réalisons sont le produit de ceux précédant, eux-mêmes résultat de l’incidence environnementale dans laquelle nous sommes tous acteurs.
Si à cela tu ajoutes le fait que nous de disposons pas du réel libre arbitre, sinon qu’une représentation tronqué qui nous est nécessaire pour agir.
Si tu ajoutes également que nous ne faisons que des raisonnements linéaires, ceci tenant à la structure de notre cerveau qui développe et explicite avec lenteur ses perceptions sensorielles.
Alors effectivement faire des certitudes futurologiques est une gageure.
Mais cela n’empêche pas la recherche de régularités observables et mesurables pour nous indiquez une probabiliste orientation malgré notre faiblesse du raisonnement devant nos sens.
Mais ce sont nos sens qui demeureront déterminant, et tant que nous ne percevrons pas « sensoriellement » la mise en danger de notre espèce pas notre mode de vie, rien ne bougera sauf à passer par le conditionnement au travers du débat idéologique sur de nouveau projet de société générés par la prise en compte par l’affect de données observées et mesurées dont certain se font les portes paroles, si la « nature » transforme la donnée aléatoire en un événement déterminé.
Alors la décroissance par des choix d’utilité est possible sans tomber dans la régression, mais il faut donner à notre biologie en quête permanente de désidérabilité les moyens de son expression.
Pour ce faire nous disposons d’une richesse presque inépuisable et renouvelable par génération notre, intelligence.
Aussi passer du temps agréable à la développer et la cultiver, même contre une rémunération, vaut bien tous les achats inutiles et ostentatoires qui satisfont notre désir de possession et justifie le mortifère dogme de la croissance.
Et le championat du mondede de la culture ne vraudrait il pas celui dela non culture du ballon rond par exemple.
cordialement