En France, le comptage ethnique est interdit, ce qui est bien confortable pour les négationnistes de la réalité comme Masuyer, le pourfendeur des « français de souche » ainsi qu’il les nomme.

Dans le domaine de l’insécurité largement organisé par les noirs Africains et les maghrébins, ceux qui suggèrent qu’il pourrait y avoir une corrélation avec la poussée de l’immigration sont aussitôt étiquetés comme racistes. Terme bien commode qui permet de clouer le bec aux infâmes français.

Les jeunes ne deviennent pas délinquants à cause de leur origine mais parce qu’il sont culturellement mal assimilés et socialement mal intégrés.

« Reconnaître leur surdélinquance, ce n’est pas verser dans le racisme mais au contraire le combattre. Car le racisme pour se développer a besoin d’immigrés qui refusent nos moeurs et nos lois. » (Christian Jelen, la guerre des rues, Plon,1999)

En 1997 (oui, c’est pas tous les jours que l’on fait des comptages ethniques, c’est d’autant plus facile pour Masuyer à contester comme dans le cas de l’étude sur les prisons), les renseignements généraux recensaient un échantillon de 724 meneurs de violences urbaines, âgés de 16 à 25 ans. 60 étaient maghrébins, 15 africains et 406 Français. Mais sur ces 406 Français, 48 seulement portaient un nom et un prénom de consonance européenne.

En conséquence, ce n’est pas tant la sur délinquance largement représentée par les Africains du nord et du sud qui me dérange (mais qui fait littéralement chier nos concitoyens) que l’attitude négationniste des chiens de garde comme Masuyer qui poussent au racisme en niant de manière systématique cette vérité sous prétexte qu’elle lui est intellectuellement dérangeante.

L’antiracisme a remplacé la lutte des classes par la la lutte des races ,voyez comme la gauche défend la racaille allogène contre les Français de souche (terme raciste employé par la gauche) et provoque en retour une réaction identitaire représentée par les « idées du Front National » et ayant in fine abouti à l’élection de Nicolas Sarkozy.

La lutte contre la délinquance allogène et exogène doit aller de pair avec la lutte contre les auto proclamés antiracistes négationnistes comme Masuyer qui sont les premiers défenseurs du racisme en France.