Dans l’indescriptible primitivisme de la barbarie islamique, quel que soit le niveau d’éducation collatérale, c’est à dire non musulmane, l’enseignement de l’islam prime sur tout. Cet enseignement qui veut que la mort des mécréants soit un acte qui plaît incommensurablement au Dieu et rehausse de façon considérable, aux yeux du même Dieu, les mérites de ceux qui contribuent à ce que cette mort survienne.
Il n’y aucune différence de taille entre un paysan anatolien turc qui est venu en Europe pour perpétuer la bigoterie rétrograde en vigueur en Turquie profonde, majoritaire, et un musulman soi-disant cultivé, érudit et surdiplômé, un médecin de surcroît, qui a seulement ajouté un nombre impressionnant de couches de vernis opaque sur sa véridique nature haineuse musulmane.
Ce qui s’est passé en Angleterre, où les auteurs des attentats avortés sont des « médecins », démontre d’une manière plus que convaincante le fossé galactique infranchissable qui sépare la civilisation de l’islam. Nous n’avons aucun droit de laisser contaminer notre monde, dont les avancés dans le domaine des règles de la vie en société, aussi perfectibles qu’ils soient en permanence, relèguent l’islam au rang des curiosités d’un passé gravement abruti, par des énergumènes soumis aux lois mentales en tout semblables à celles des nazis ou du Ku Klux Klan le plus obtus et enragé.
Pour tout statut de « médecin » auquel il puisse prétendre, il doit être en premier lieu un parfait musulman, celui qui laisse naître dans sa tête malade et endoctrinée jusqu’à la moelle par le mahométanisme l’idée de bourrer de clous, de gaz et d’explosifs une voiture pour tuer massivement, gratuitement et avec une atrocité sans pareil, mais exemplairement islamique.