- Avant 1789 et avec ses « brioches », l’ancien régime ne voulait pas, lui non plus, que les choses changent, ils étaient bien et confortables, les perruquées entre eux !
- avant 1936, il était honteux que toutes ces feignasses de prolos, qui arrêtaient de bosser quinze jours, viennent polluer les plages jusqu’alors réservées à la France d’en haut, avec leur bérêt ridicule !
- avant 1968.... bref, il est toujours difficile de donner un peu alors que par coeur gras, on risque de tout se faire prendre (C’est ce que prévoyait Pierre Mendès France avec l’Afrique).
Les pauvres ne veulent pas tous la place des riches mais seulement être moins pauvre, combattre non la richesse mais la pauvreté (Jaurès, le dernier mentor de Sarkozy).
En quête de nourriture et de simple dignité, il est spécieux d’évoquer le souhait d’un retour d’un quelconque collectivisme en s’affranchissant d’évoquer les délices supportés symétriquement chez les Franco, Pinochet, Salazar..et autres Castro sur la planète !
Vouloir que rien ne change conduit à interdire à la science de bouger et son corollaire la Société...sauf pour qq uns !
Il est vrai que de tous temps certains rempliront les poubelles...que d’autres videront ! Qu’en pense l’Abbé Pierre, sur son nuage, de ce fatalisme ?