Coucou, je suis là. Votre ironie facile tombe à plat, car il n’y a ni querelle avec Mr. Masson ni désamour envers l’espéranto. j’avais simplement raté cet article. Honte à moi, qui ai par mégarde oublié de cliquer sur AV pendant un jour ou deux. Heureusement, votre message récent a attiré mon attention. J’ai parcouru article et discussion ; je trouve cette discussion un peu triste, car elle est parasitée par vous et vos clones, votre haine et vos arguments auxquels on a souvent répondu. Mais bon, chacun a le droit de ses opinions.
Votre compatbilité des messages n’a aucun sens : bon nombre de lecteurs sont en vacances ou lèvent un peu la tête de leur ordi, quant aux espérantistes, ils peuvent être eux aussi en vacances, ou à une des nombreuses rencontres organisées l’été dans le monde entier. Eugène (saluton) a par exemple mis un message de soutien. l’article est très complet, et nous n’avons souvenr rien à y rajouter.
Ah si, des « news » toutes fraiches : petit à petit, le mur du silence des médias envers l’Eo dont H. Masson avait parlé dans un de ses précédents articles, et qui avait si fort énervé Asp continue de se fissurer, lentement mais sûrement. Aujourd’hui, dans « Courrier international » en ligne, une petite mention de l’Eo et de ceux qui y voient une opportunité pour l’UE :
http://europe.courrierinternational.com/eurotopics/article.asp?langue=fr&publication=06/08/2007&cat=CHOUX+DE+BRUXELLES&pi=0#0
"06/08/2007
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CHOUX DE BRUXELLES
Le multilinguisme apparent de l’UE
A l’occasion d’un congrès sur l’espéranto organisé en Slovénie, l’écrivain Vinko Oslak réfléchit au multilinguisme dans l’UE. « Il existe aujourd’hui plus de 6 000 langues dans le monde. L’UE possède 23 langues officielles, soit plus de 300 combinaisons possibles quand il faut traduire. La traduction représente 30 % de l’ensemble des coûts administratifs de l’UE. Concrètement, cela représente un peu moins d’un milliard d’euros. Ce milliard ne garantit que sur le papier l’égalité entre toutes les langues. Dans la réalité, la situation est à peu près similaire à celle qui régnait dans l’empire habsbourgeois, où l’allemand était la langue dominante. Dans l’UE, c’est l’anglais. »
Dnevnik (Slovénie)"