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Commentaire de stradiuvarius

sur Traité européen : ce que veut l'Allemagne


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stradiuvarius 16 août 2007 14:39

Je partage avec le début du XXème siècle, la consécration (en France) des congés payés, le parachèvement de la révolution industrielle entamée au XIXème, l’Art Nouveau , l’atome, et tout les progrès inhérents, c’est vrai. Ce ne sont pas de vaines paroles ou des élucubrations lâches derrière sa plume, ce sont des faits avérés. Je n’oublie pas que les idées totalitaires mortifères du XXème siècle sont directement nées du démembrement des Empires constitués depuis le Moyen âge en Europe , point des états nations injustement vilipendées. Démembrement que l’Union Européenne souhaiterait évidemment finaliser en rouvrant la boite de pandore et nous projeter dans l’obscurantisme et le chaos de l’Europe de l’an mil pour mieux asseoir son pouvoir ( de nuisance).

Je vous laisse concernant la seconde partie du siècle, cela va sans dire, l’entière responsabilité que vous partagez ici avec les Technocrates de Bruxelles en défendant leurs idées, des charniers encore fumants de Srebrenica et le génocide programmé de la minorité Bosniaque au Kosovo. Je vous laisse également la responsabilité des accords commerciaux de l’UE avec la Chine Tortionnaire qui place à peu de chose prêt la liberté de Parole là ou vous mettez les principes démocratiques au travers par exemple de votre « Charte des droits fondamentaux », c’est-à-dire dans le caniveau etc etc...

Je n’ai pas autre chose à décrire ou à dépeindre vous concernant ici , que la sollicitude dont vous faites preuve au travers de vos piaillements feignant la posture aristocratique ou la quête de respectabilité ainsi que d’un mimétisme succédané, vieillot, dépassé, qui, parce qu’il s’arroge les artifices du Verbe ou de langue, pense être en mesure de détenir quelque vérité que ce soit ou que de l’imposer. Nous ne sommes plus en 1750, et quelques têtes sont depuis tombés vous l’aurez noté . Souffrez donc que je prenne librement ici la liberté de vous ramener aux latrines, c’est-à-dire la ou vous partagez avec le commun des mortels les postures élémentaires pour vous soulagez quelque illustre aïeul puisse figurer dans le panthéon de vos vieilleries personnelles.


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