L’Europe n’a aucun avenir, elle est vouée à disparaitre.
L’Europe est un continent. Ceux qui voulaient en faire une structure supranationale cachaient que cela impliquait d’en faire un état. Que cet état devait être celui d’un « peuple européen » pour pouvoir se prétendre démocratique. Problème, il n’y a pas de « peuple européen ». Il fallait donc le créer, en faisant en sorte que, préalablement, les européens se détachent de leurs nations, perdent leurs repères, finissent par se détester eux-mêmes pour espérer le salut en une fuite en avant vers un inconnu plus vaste.
Cette manoeuvre devait être subreptice, menée discrètement par une élite capable de s’approprier le pouvoir chacun dans son pays, pour le détruire dans le dos des peuples.
Une élite « d’européens convaincus ». Convaincu de quoi, au fait ? Convaincu que c’est leur intérêt personnel de se mettre au service d’un pouvoir supérieur, occulte, qui se fiche comme d’une guigne de « construire » l’Europe, mais qui est très intéressé par la destruction des nations et des démocraties que cette prétendue « construction » implique.
Car en fait, la finalité de la « construction européenne » n’est pas l’Europe, mais la mondialisation. La preuve au CER, (Centre for European Reform) qui travaille déjà sur l’étape suivante, l’ensemble euro-américain. Mais qu’est-ce que la mondialisation, sinon un ensemble de règles supranationales au seul bénéfice d’un très petit nombre pour asservir l’ensemble de l’humanité, en rendant totalement inconséquent les choix procédant des élections ?
Tout cela aurait pu continuer, bon an mal an, à la seule condition que cela fonctionne globalement. Le hic, c’est que ça ne marche pas, mais alors, pas du tout ! La catastrophe écologique qu’il n’est maintenant plus possible d’occulter, la pénurie programmée des énergies fossiles, les logiques économiques, la prise de conscience des peuples, sont, parmi d’autres, autant de faits indéniables qui obligent à constater l’effroyable faillite du système.
Ce qui n’est pas encore politiquement correct, ce qui est encore soigneusement caché par une presse dont la soumission n’a d’égal que sa bêtise, c’est maintenant une lapalissade : quand quelque chose ne marche pas, il faut s’en débarrasser.
L’Europe ne marche pas. La France ne pèse plus en rien sur l’orientation stratégique de l’Europe. L’Europe détruit la France, moralement, économiquement, dans son existence même. La France n’a maintenant qu’un solution : EN SORTIR.
Et il faut que la France en sorte, non pour s’isoler, pour se tenir à l’écart, mais simplement pour renouer avec son rôle historique de nation libératrice de SON peuple et DES peuples. Car il n’y a pas que les Français qui n’en peuvent plus, de cette construction déraisonnable qui soumet les nations d’un continent à une dictature bureaucratique catastrophique. La prise de conscience est aujourd’hui continentale !
Vive la France, vive les nations libres d’Europe et du monde, vive l’amitié entre les peuples !