@IP115,

Si vous avez lu l’article, et si vous l’avez compris, notre auteur ne remet pas en cause ce que nous pourrions appeler une réforme de la fonction publique. Il expose simplemnt que LA fonction publique est multiple, tente d’en expliquer certains rouages pour mettre en évidence qu’une réforme peut très bien être menée en se trompant de cible.

Quand à l’argument les français sont des veaux c’est, si je ne m’abuse, une phrase de De Gaule ; je ne m’en exclus pas pour autant puisque je fais partie de d’un ensemble que l’on nomme les français ; mais fort de cette connaissance, j’essaie de m’informer par d’autres biais que les médias traditionnels et les discours politiques bien pensants de droite, de gauche ou du centre qui sont de mise actuellement et dont vous êtes un relais inconditionnel. Il doit bien exister certaines nuances entre être un veau et ne pas l’être.

Quant à vos remarques, elles me font rire, désolé. Ce que vous pensez de moi ne me concerne pas et je m’en contre fiche.

Par contre j’ai du mal à comprendre que des idiots de votre espèce, tout juste bons à faire du suivisme sur un discours et quelques informations chiffrées données en pâture, puissent venir sur un phorum de discussion ; puisqu’à priori, vous ne comprenez pas les propos d’autrui et que votre capacité de communication est très proche de 0.

J’en arrive donc à la conclusion que le débat entre nous sera stéril. Par ailleurs, juste pour votre information, vous comparez un taux de syndicalisation dans un pays où le syndicalisme est quasiment obligatoire à un autre où la syndicalisation est un choix individuel ; vous modifier sciemment le taux de syndicalisation en prenant le taux général (privé/public) en omettant de dire que le privé représente 3% (donc un taux dans le public plus important) ... enfin vous manipulez à votre guise l’information comme le font tous les médias bien pensants.

En arriver à comparer ce qui ne l’est pas pour justifier des orientations discutables est une spécialité de la bien pensance. Pour ma part, le débat entre nous est clos ; comme tout autre débat potentiel. Je ne discute pas avec des gens qui ne savent pas communiquer et crachent leurs aigreurs nauséabondes par ce qui devrait leur servir à dialoguer.