« Quoi de plus démocratique qu’un blog comme symbole de la liberté d’expression ne devant prendre en compte aucun groupe de pression, aucun intérêt économique sous-jacent, aucun conflit potentiel d’intérêt entre annonceurs ou financiers et contenu acceptable, ou encore aucune directive interne ou ligne éditoriale. »
Qu’il s’agisse de blog ou de site, je suis entièrement d’accord avec vous, d’accord aussi avec les précédents commentateurs pour l’envie d’en savoir un peu plus.
Je cite cette dernière phrase simplement pour signaler que la liberté de créer sur son blog ou site est totale mais n’empêche pas de se poser certaines questions, de façon la plus judicieuse possible, en se demandant jusqu’où on peut aller. Car pas plus tard que tout à l’heure je lisais encore une histoire de censure pour « diffamation », blog temporairement fermé et tutti quanti (malheureusement de lien en lien j’ai perdu ma source).
Là où je m’écarte un peu du sujet, c’est que j’ai en tête ma propre expérience qui ne concerne pas du journalisme mais de la littérature. Notamment par le biais du théâtre, où tout est possible, propice à être dit et dans la forme la plus fantasque qui soit.
Et puis le fait de créer à deux, en l’occurence, donc de penser en terme de « ligne webétitoriale » amène souvent à des réunions virtuelles dignes de comités de lecture / de presse assez mouvementés !
Si vous ne me croyez pas, voyez :