Bonjour tzecoalt.
D’une manière rapide c’est presque cela. Mais je me garde de porter des condamnations sur les uns ou les autres non pas que je ne le fasse pas par la critique, mais je suis un convaincu que nous ne disposons pas du libre arbitre, et cela change radicalement ma perception de l’autre car je sais que tous ces actes son induits par son caractère et tous ceux qui ont collaboré à la formation de son tempérament et de son apprentissage.
Donc il est toujours difficile de définir les responsabilités car elles sont partagées et chacun est incident de l’autre. Mais comme pour exprimer une idée il faut la réduire à une phrase pour qu’elle soit partagée. En l’espèce l’élite à été absorbé par sont « élitocentrisme » et la vendu comme une valeur sure pour un meilleur avenir fait de rationalités comptables et mathématique linéaire pleine de déterminisme, toujours factice, qui plie les esprits et les corps à vivre comme certain, des évènements toujours malléables et aléatoires.
Il est bien évident que comptabilisant notre existence, avec le plan comptable qui fixe comme une charge (salaire, cotisation vieillesse santé solidarité) la vie des individus, on en vienne à vouloir se soulager de manière normale de ce qui représente un poids et nous sommes invités en nous en soulager dans des assurances privées.
A côté de l’économie il faut avoir une existence philosophique de la vie ou spirituelle (pas au sens de religieuse).
Parce que si la monnaie n’était pas rare et n’établissait pas de fait une file d’attente avec notre capacité productive nous aurions déjà épuisé nos ressources. Ceci dit je ne justifie pas la pauvreté à laquelle l’on peut échapper. Faire en sorte que tout le monde ne se battît pas un palais royal et une chose, faire en sorte de nourrir tout le monde de biens en rapport aux usages courant est autre chose.
C’est difficile de comprendre pour une société qui a abandonné tous ses idéaux pour un libéralisme économique fantomatique, qu’il n’est fait que de contraintes organisées, dont celle du capitalisme n’est qu’une forme moderne de l’esclavage grecs (Exception faite de la traite des noirs). Je veux faire allusion aux stratifications sociales qui en résultent, égale aux compositions sociale des grecs. Quand l’on s’aventure à la comparaison elle se recouvre parfaitement. Eux ils pensaient que la condition sociale était de naissance, pour ainsi dire inné, nous nous savons qu’elle est de naissance aussi, mais sociale.
Chez eux l’esclave pouvait être émancipé, chez nous un salarié peut s’émancipé à être employeur, mais la relation reste l’exploitation d’autrui, non sa participation dans une contrainte volontaire de partenariat dans la poursuite d’un but.
Le libéralisme individuel au sens de préservation de la liberté de chacun se réduit, même si la liberté arbitraire n’existe. Nous nous sommes émancipé du monarque et aujourd’hui c’est en son nom l’on peut s’opposer à ce qui nous dérange.
Le rôle d’un gouvernement est aussi de veiller à ce que la population subvienne à ses besoins et doit former les citoyens pour les emplois nécessaires, et les emplois se couvrent en fonction de leur pérennité, de leur cotation sociologique, et de leur tourover. Le saltimbanque quêtant hier, n’est-il pas devenu l’artiste opulent d’aujourd’hui, et l’éboueur d’aujourd’hui ne tend-t-il pas à devenir le nettoyeur écologique de demain.
Un emploi intellectuel s’il existe c’est qu’il a sa place, si j’ai bien compris le sens dans lequel tu emploies intellectuel, ce n’est pas forcément une voie refuge et ça ne s’oppose pas aux métiers manuelle. Dans notre société l’on essai d’orienter vers les emplois disponibles sans que cela devienne une acceptation forcé, tendance vers laquelle l’on se dirige.
Ensuite l’emploi évolue en fonction des échanges économiques, et ceux qui sont en attentes ou qui émergent pâtisse il est vrai de moyens.
Quand au totalitarisme heureusement qu’il est plus dans les esprits pour l’instant, mais pour passer dans les faits, il faut bien commencer par là.
Cordialement. Merci pour le commentaire.