@ auteur
vous avez raison de présentez votre vision d’un point de vue ’’système’’ qui désire faire l’inventaire et la part des différents paramètres.
En fait le titre emporte votre pensée car il faudrait plutôt parler de ’’déséquilibre social’’.
Ce que l’on pourrait appeler un ’’système en équilibre’’ n’est pas le plus souvent la meilleure association des meilleures performances de ce système, mais plutot la moins mauvaise association des moins bonnes performances ce qui est plus dur faire mais réalisé en permanence par Dame Nature.
C’est-par exemple-tout ce qui peut différencier un ’’groupe’’ et une ’’équipe ’’.
Dans ce que je nomme un ’’groupe’’ qui serait la construction ’’mécaniste’’ des fonctions élémentaires ( taches, travaux, entrée, sortie, process, contrôle)
si on supprime une fonction le système ne marche plus.
En effet si suppose que l’ ensemble des fonction a été déterminé de manière optimale, la suppression ou la baisse de performance de cette fonction désoptimise tout le système qui se bloque.( c’est la version ’’vertébrés’’)
Dans une équipe, le système se ’’débrouille’’ en ré equilibrant ou auto-compensant le maillon manquant.
chacun des maillons se sent solidaire d’un esprit d’équipe qui permet à chacun de faire le surcroit d’effort qui compensera(it) le maillon manquant.(c’est la version ’’mollusque’’)
Ainsi dans un sport dit d’équipe, l’équipe qui se voit amputée d’un joueur se retrouve souvent en meilleure condition morale que celle qui a le surnombre, car dans cette dernière chacun pense qu’il peut relacher sa contrainte.
Tout est donc question d’équilibre et de régulation des équilibres, il est clair que le système ’’tout libéral semble s’opposer au système ’’tout social’’
A titre d’exemple de même il ne serait pas choquant d’introduire des indicateurs de performance dans le secteur public, si il y avait plus de démocratie dans le secteur privé ( droit de vote des salariés ou de leurs représentants pour la nomination des dirigeants)
Politiquement , la méthode est encore à valider faut-il des Grenelle ( sous la pression de la rue) ou l’introduction d’un tiers arbitre pour que les ’’systèmes opposés’’ se régulent mutuellement ?
A méditer