« Si les époux ne s’entendent pas sur la division de leur patrimoine, sur la garde des enfants, la pension alimentaire, et d’autres choses, comment peut-on parler honnêtement de consentement mutuel ? La velléité de vouloir divorcer peut tout aussi bien s’exprimer devant n’importe qui, par exemple chez un notaire ou le garde-champêtre »
Etes vous sur d’avoir bien lu l’article et d’avoir relu votre commentaire ?
N’avez vous pas compris qu’un consentement mutuel c’est un accord global qui peut parfois nécessiter des négociations sans pour autant que les époux soient d’accord sur tout dès le début ?
Les époux qui ne seraient pas d’accord sur les conséquences du divorce pourront toujours se présenter chez le notaire. Il ne pourra pas les divorcer ....
L’intervention d’avocats permet justement d’arriver à un accord avant d’aller devant le juge.
« D’autant plus que ni l’avocat, ni le juge pourront rendre infailliblement les décisions prises exécutoires »
Parce que le notaire le pourra lui ? Vous pensez que le fait que le divorce soit prononcé par le Notaire empechera des conflits ultérieurs sur la garde des enfants, la pension ? Et encore je parle de conflit mais sans aller jusque la on peut simplement parler de la modification de la situation des parents qui nécessite une révision d’une pension ou du lieu de résidence des enfants
« Il existe des montagnes de promesses avant de passer chez le juge, promesses évoquées par l’avocat, qui sait très bien que nombre de décisions prises et écrites par le juge ne mèneront à rien. Mais cela, l’avocat se garde bien d’expliquer le déroulement des suites du divorce à ses clients. »
Si vous pouvez m’expliquer ca parce que j’avoue que je ne saisis pas. La seule décision que prend le juge dans le cadre d’un consentement mutuel c’est d’homokoguer (ou de refuser d’homologuer) l’accord trouvé entre les époux.
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