S’il est vrai que certaines remarques et critiques sont recevables à l’encontre de SR, dire qu’elle à divisé plus que Fabius, DSK, Mélanchon et toute une bande d’ambitieux en quête d’un plat de lentilles est, me semble t-il - une vision émiplégique de la réalité !
Il me revient en mémoire également (pour parler des flous dans les discours) celui de Mitterrand : « Celui qui ne veut par rompre avec la capitalisme ne peut se dire socialiste !... » Tout ça pour dire que Macchiavel est lu partout et qu’il faut séparer, hélas, les paroles durant la conquête du pouvoir de celles durant l’exercice de ce même pouvoir : c’est ainsi, sauf avec Pierre Mendès France !!!
La politique consiste, encore hélas et faute d’un Peuple qui cherche sérieusement à s’informer, hors TF1, à choisir entre les moindres maux, quant à demander à SR d’attendre de voir l’oeuvre de Sarko soit terminée avant de le critiquer, c’est accorder à ce dernier une virginité politique qu’il n’a plus...depuis longtemps. Il a rencontré le loup et à épousé dans la totalité toute sa « cruauté »...je m’égare...
Pour terminer, il m’apparaît désastreux et manquer de sens « politique », en savonnant la planche du(dela) candidat(e) le(la) mieux placé(e) - j’ai pas dit le/la meilleur(e) - mais la personne susceptible de battre le pétainisme triomphant. Pour une fois, la fin justifiait les moyens et personnellement (presque) n’importe quel candidat de GAUCHE eut été préférable à ce retour des temps anciens (THIERS,GUIZOT, NAPO III et autres altruistes, en lieu et place des Jaurès, Blum, Mendès, même de Gaulle, tous ambitieux aussi mais avant tout soucieux du BIEN COMMUN, ils savaient, eux, ce que pouvait être la honte). En 2007, Chacun à gauche avait, comme chez Auchan, sa liste de ce qu’il n’aimait pas chez SR, trop de ceci, trop de cela, comme pour les courses...j’arrête car je m’énerve contre ceux que j’aime bien par ailleurs...mes compagnons de misère !