Bonjour dugué.

 

La décadence positive serait donc celle que l’on ne voit pas venir dans ce que l’on prend pour des progrès quand l’on considère que la technologie, aussi utile soit telle, se veut remplacer l’esprit humain.

 

On peut la présenter sous une autre forme, lorsqu’une société se replis sur elle-même elle succombe comme tout organisme sous ses déchets, je n’ai jamais trouvé de situation rigoureuse qui confirme cela comme une régularité indéniable (heureusement pour moi).

 

Je crois que cela peu tenir dans la comparaison des technologies de circulation des informations et des biens qui ne se sont jamais faits de manière aussi rapide et sur l’étendu mondiale en si peu de temps.

 

 

Quelle incidence a sur nous cette masse d’information démentielle que nous ne pouvons traité dans sa totalité, il semblerai qu’a l’exception d’une minorité d’initié (comme de tout temps proportion gardé) elle est décortiqué pour concourir pour une majorité à la recherche de la facilité, qui se décline sous des concepts réduits, séduisants, identitaires, mais qui constituent une régression si l’on ne s’en tient qu’a eux, car ils ne nécessite pas de faire appel à ce qui caractérise le développement civisilationnelle l’apprentissage, par le décodage et l’encodage de nos sens par le cerveau duquel on retire les raisons et les espérances qui nous rassemblent dans une communauté de destiné séparé par la géographie et l’histoire qui si rattache.

 

Si l’on prend en référence les relations économiques, elles marque effectivement la décadence des puissances qui se succèdent est en ouest, et la bizarrerie est qu’il semble qu’alors que ces puissances disposaient de la puissance économique elle n’est pu la traduire en une puissance intellectuelle pour les individus, hormis pour ceux qui ont pu saisir l’opportunité de placer leurs puissances financières dans des économies plus jeunes, laissant les autres propriétaire d’un savoir faire, croire détenir le seul savoir qui façonne l’avenir.

 

Si l’on prend en référence leurs capacités intellectuelles nous sommes aussi obligés de constater qu’elles n’ont pas réussi à endiguer les décadences et l’on ne peut pas en exclure tous les intellectuels que chacune d’elles ont vu naître.

 

Enfin pour en justifier il semble difficile de prendre l’activité des gens du peuple car elle est moins connu que celles de leurs élites, car il n’y a jamais eu d’éducation de masse, sauf pour nous depuis le début de la scolarisation obligatoire et de celle qui s’en est suivit dans les autres pays.

 

Habitué que nous sommes à suivre la décadence sous ces deux aspects nous en avons ciblé les noms de leurs chefs pour indiquer lequel a été la représentation de l’apogée avant le déclin qu’ont représenté les suivants, mais une situation où autant de connaissances ont été disponible ne sais jamais rencontrer, sauf à considérer que celle professionnelle équivalent celles que possédaient les gens des peuples d’entant et qu’elles ne constituent pas cette intelligence qui donne la compréhension de son moi et du monde qu’il se représente.

 

Cela nous renvoie donc à Socrate qui est supposé avoir dit :« Toi, père de l’écriture, tu lui attribues une efficacité contraire à celle dont elle est capable ; car elle produira l’oubli dans les âmes en leur faisant négliger la mémoire ; confiants dans l’écriture, c’est du dehors, par des caractères étrangers, et non plus du dedans, du fond d’eux-mêmes, que ceux qui apprennent chercherons à susciter leurs souvenirs ; tu as trouvé le moyen, non pas de retenir, mais de renouveler le souvenir ; et ce que tu vas procurer à tes disciples, c’est la présomption qu’ils ont la science, non la science elle-même ; car, quand ils auront beaucoup lu sans apprendre, ils se croiront très savants, et ils ne seront le plus souvent que des ignorants de commerce incommode, parce qu’ils se croiront savant sans l’être ».

 

Il semble bien que faute de débat sur nos désirs existentiels, ou de l’esprit, ou spirituel, ou de société, ou d’utopie, ou d’idéal, pour n’en rester qu’a la recherche de la facilité qu’offre le souvenir des moyens technologiques, nous en oublions ce qui fait de nous des humains l’interrogation.

 

Mais elle ne se fera que si un besoin impérieux la suscite et c’est en cela que la facilité peu être décadente quand elle ne conduit pas à une innovation, car la facilité est l’inverse de la diversité qu’offre le monde avec son nombre incalculable de possibilité que d’aucun cherche à réduire pour ne pas avoir à s’interroger, et constituent une manne financière pour ceux qui, plus intelligents, l’investiront ailleurs une fois le profit réalisé.

 

Je ne crois bien sur pas à la justesse de mon raisonnement car il y a trop d’autres facteurs que j’ignore, mais la monté du populisme et de l’épuration semble un facteur aggravant, dans chaque étape de décadence, que leurs défenseurs présentent comme la base du redressement impuissant à résoudre l’érosion économique qui déstructure la vie sociale basé seulement sur le commerce, et je pense que le transfert des décisions humaines à des décisions bancaires l’accélèrera

 

Qui plus est les chefs charismatiques que les peuples se choisissent ou qui accèdent au pouvoir dans ces moments là sont souvent des accélérateurs du mouvement de régression malgré les noms pompeux qu’ils se donnent : Danube de la pensée, Petit père des peuples, bien-aimé Führer, Grand Timonier, Leader Maximo, Caudillo, Duce, Maréchal nous voilà, Empereur de centre Afrique pour les plus anciens…

 

 

Merci pour ton article, en ce moment je suis assez absent et cela va durer quelques mois, de ce fait je n’ai pas pu lire tous tes articles.

 

Cordialement.