a Patrice69...
Avant la musique, les editeurs (de livres) ont essayer de justifier leur metier.
Ce que vous n’avez pas compris, c’est que les editeurs de musique, apres ceux du livre, ont choisi de développer un business de l’immateriel (la musique). ils ont profité de la premiere phase technologique (la radio) puis le CD pour assoir leur prédation sur les contenus.
Seulement voila la technologie ne s’arrete pas là ou ces messieurs le souhaitent. où il y avait avant unidirection du flux ( de la radio vers les auditeurs) il y a maintenant multi direction, de pair a pair comme on dit. les editeurs en souffrent parcequ’ils se croient propriétaire du contenu alors qu’ils n’etaieint que proprietaire du support.
les auteurs.compositeurs/interpretes qui sont les vrais proprietaires des oeuvres leur echappent et ce n’est pas fini.
Le modèle economique retourne a ce qu’il n’aurait jamais du quitter, la prestation de l’artiste !
Une chansonnette, une fois interpretée et payée a l’artiste ne lui appartient plus en terme economique. Si quelque artiste désire la reprendre il lui doit les doits de propriete intellectuelle, mais personne ne peut s’arroger la propriété de l’interpretation terminée. En ce sens la ritournelle dans la tête des gens n’est pas valorisable.
le seul vol qu’il y a , c’est celui des major qui revendent ce qui ne leur appartient pas !