Note complémentaire :
ëtre "moinsé" pour ce texte serait légitime, puisque quasiment hors sujet, s’il s’agit dexprimer son avis sur les effets pervers de lois et règlement sortis du chapeau avec précipitation.
Comme pour la loi DADVSI concernat la propriété intellectuelle, sous couvert de mettre en place un cadre régulé autour de pratiques emergeantes ou se généralisant, le legislateur s’est privé des conseils de vrais spécilaistes et a préféré l’aspect clienteliste de son action. Pour le bonus - malus ce qui se produit est a peu pres du même tonneau, puisqu’on peut penser qu’en peu de temps, le système va s’adapter et nous auront en vente AVEC bonus des vehicules 4x4 de poids et de consommations significatives/
Le choix du taux de carbone rejeté est certe interressant, mais de tres loin insuffisant, si l’objectif est bien de diminuer l’empreinte de l’automobile dans le cadre des rejets de CO2.
Une bonne mesure aurait été, par exemple, de mettre en place un service plus performant de contrôle technique destiné à s’assurer de la conformité effective des vehicules et laisser libre un marché de développement, de réparation et de remotorisation des vehicules existants. Cela aurait eu l’avantage, a surface egale, de diffuser le revenu economique de l’automobile a un grand nombres d’acteurs dnas le pays, donc au tissu economique (sellerie, carrosserie, mecanique, ingenierie, pieces détachées) au detriment evidement du monopole des grands constructeurs.
Un autre aspect pourrait etre le developpement de petits constructeurs alternatifs qui apporteraient des solutions interressantes et hors de contrôle des quasi-monopoles actuels, comme le prouve Pascal Nègre et ses moteurs a air comprimés. (imaginez de nombreux vehicules urbains et peri-urbains, propulsés par des moteurs a air comprimé (Zero pollution directe) dont les bouteilles pourraient s’echanger dans de nombreux points de vente, comme une simple bouteille de gaz)
Bon, vu l’heure, il est dejà demain... bon jeudi à tous.