désolé, en plus de ce que vous dites, il y a aussi :
— le pouvoir d’achat,
— le fond du problème.
Pour le pouvoir d’achat, aprés que les charges fixes soient passées, il ne reste déjà plus beaucoup pour vivre. Apres le strict necessaire, le superflu, comme la musique ou la video, que reste-il vraiment ? S’i restait 100 euros il y a 5 ans, aujourd’hui, les augmentations de prix et la stagnation des salaires ont fait le reste, avec ZERO on n’achete plus rien... ou si peu ! Quel que soient les prix du disque, le consommateur ne pourra pas acheter plus que ce que lui permet son "disponible". s’il lui reste 20euros, il se paiera un cd a 20 ou deux cd a 10 etc... mais en aucun cas il n’achetrea a 30, il n’a pas 30 euros.
Le fond du problème, vient peut être egalement de l’exemple que nous montre les artiste. Born to be alive est peut être une bonne chanson, mais que "l’ayant droit" en vive pendant 30 ans devient dur a avaler.. Comme le disait quelqu’un plus haut, j’aimerai bien vivre des royalties de mes activités anterieures. le mode de consommation de la musique, donc en principe de la culture, s’adapte mal avec les règles industrielles et financières, on le constate maintenant parfaitement.
Personnellement, je pense que la loi HADOPI n’est que le premisce d’un prise en main de l’internet par les etats qui ont toujours du mal a entraver la circulation des idées, des informations etc. Nous arrivons dans une periode de tempête et il serait urgent que nos democraties se determinent sur les grands principes. Doit on contrôler ou pas. le même problème se pose aussi avec la loi LCEN -( a propos de la reconnaissance du statut d’hebergeur ou d’editeur) ce qui prouve que le problème n’est pas que celui des majors (qui en profitent evidement).