Marrant, ça, encore de belles théories inapplicables : là où j’habite, il n ’y a en 6e ni arabe, ni espagnol, ni italien, ni chinois !
Pourquoi déformer mes propos en sous-entendant que je plaide pour que les élèves ne fassent que des choses faciles, alors que je répondais à Xébèche sur la facilité comparée des langues ? Quand vous accusez de quelque chose, svp, veuillez citer le passage en question, surtout lorsqu’il est imaginaire...
J’ai proposé (sur AVox, lien aussi sur Inttranews) une réforme de l’enseignement des langues, du primaire au bac, qui à coût quasiment constant, permettrait à la fois le libre choix parmi un grand nombre de langues, en résumé, au primaire le projet Evlang (Eveil aux langues), initiation à plusieurs alphabets et plusieurs langues, au secondaire complémentarité entre public et privé/et même associations parentales, l’école proposant la ou les langues selon ses possibilités, et possibilité de valider des langues apprises au-dehors. Vous voyez qu’on est loin du glandouillage.
De toute manière, la motivation étant l’élément principal dans l’apprentissage d’une langue, vous aurez beau dire aux enfants ou aux parents que l’anglais, le chinois, l’arabe ou autre est une chance pour leur avenir, ce ne sera jamais qu’une initiation, surtout imposé...