Je trouve votre démarche gênante.
Le luxembourg n’est pas qu’une façade pour banquier.
Il s’agit d’un pays qui a su les attirer avec une fiscalité avantageuse et la garantie du secret bancaire.
On peut critiquer cette manière de procéder, mais remettre en cause l’existence d’un pays est un non-sens absolu.
Pour connaître quelques navetteurs belges qui vont travailler au Luxembourg, il existe une "vie" là bas, des "gens"...Un peu comme vous, avec des jambes, des bras. Ils travaillent dur la bas, souvent plus qu’en Wallonie.
Et il existe un certain patriotisme et une identité que vous semblez balayer du revers de la main.
Mélanger ce pays et ses habitants à une politique fiscale et au comportement des banques est tout simplement scandaleux.
Pour en revenir à la politique menée par le luxembourg, je voudrais juste vous rappeller que d’ici quelques années ( d’ici 2012 je pense), ce pays devra se calquer sur les autres pays européens au niveau de la taxation sur le capital et autres joyeusetés.
En contrepartie, ils ont obtenu de garder le secret bancaire.
Autrement dit, pour un belge qui avait l’habitude de traverser la frontière avec sa petite valise sur la ligne Bruxelles/Luxembourg, le seul avantage d’un compte au luxembourg sera le secret bancaire.
"Attention, pas de méprise, il existe peut-être des banquiers intègres et qui font correctement leur travail, pas de généralités abusives, mais il me semble que le tableau général est bien celui qui est décrit dans l’article."
Procès d’intention.
Vous confondez volonté de nuire et incompétence.
S’attaquer à une politique fiscale est une chose, s’en prendre à un pays en affirmant, je cite, "il faut dissoudre l’Etat luxembourgeois qui est un minuscule état complètement ridicule en taille et qui ne présente aucune originalité culturelle véritable, ni aucun patrimoine historique digne de ce nom. Non pas que la culture luxembourgeoise doit être niée, mais bon, comme toutes les cultures, elle est bonne pour les musées et pour le folklore." en est une autre.
A force de vouloir casser du banquier, on se trompe de cible.