bonjour JL
j’ai l’ouvrage dans ma bibliothéque. je pense qu’il ne faut pas se méprendre, le capitalisme n’existe pas c’est seulement la définition d’un ensemble de comportements humains qui sont issus de l’inné et de l’évoluiton du savoir qu’a été capable d’emmagasiner l’Homme pour améliorer sa condition et satisfaire ses besoins vitaux et ostentatoires au travers de tabous et de totens qui organisent sa concentration humaine et offre un espace de stabilité ou s’organise la compétition à vie, car il ni a pas de solution finale, et dans le cas où l’évolution culturelle pérécliterai chacun d’entre nous naissons avec l’aptitude égoïste propre à assurer sa survie. or cette aptitude qui est la face brute de l’animal que nous sommes est soumis à la contrainte de l’éducation et plus tard à la contrainte volontaire.
Ce sont donc nos actes qui donnent la couleur aux concepts dans une espéce auto réaction. c’est pour cela que je rapelle parfois que le libéralisme dispose d’une philosophie et d’une morale d’essence chrétienne.
ainsi le capitalisme peut être moral et social si ses acteurs et tous ceux qui y concourent le sont.
sauf que la morale et le social sont contraigant et nous obligent à un effort journalier suivant le niveau d’intégration de l’apprentissage reçu.
Que le capitalisme serve de justification à la transgression de l’éthique pour laisser libre cours au besoin humain d’être le dominant de deuxième rang (béta) au détriment d’autres qui ont le même désirs et s’affrontent sur tous les terrains possibles, soit individuellement ou en se coalisant.
je crois que les citoyens ont quelques difficulter à saisir que ce sont leurs milliards de décisions et leur comportements qui nourrissent les concepts. concepts qui tentent de définir ceux de nos comportements qui peuvent se saisir aux travers de règles qui à leur tour susciteront des comportements types qui ne se renouvelleront pas de manière identique, sinon notre existence serait seulement déterminé.
je crois donc qu’il n’est pas impossible de moraliser le capitalisme, mais ce n’est pas sur cette voie que nous sommes engagés.
cordialement.