bonjour alain
c’est une bonneinitiaive d’avoir mis ce lien, j’espère qu’il poursuivra sa route éducative.
Au cours d’un échangeavec ZIN (pas Zen) il nous était arriver de discuter des phénomènes de création de monaie comme le Sel ou la Pomme et je lui disais que lamise en circulation de cette monnaie, pourrai être une réponse des populations, à l’égémonie des banques et de l’abandon de son pouvoir régalien de l’état pour réguler la paupérisation croissante.
en 1999 j’ai écrit ceci.
Un capital confiance.
Un bout de papier derrière lequel il y a tout le pouvoir politique que nous lui conférons, au-delà de sa seule fonction de moyen d’échange. Celui qui le possède est puissant, celui qui le désire est soumis, et il faut ajouter les rêves qu’il suscite, y compris le rêve de ceux qui voudraient bien modifier sa répartition, mais qui espèrent en un renversement du destin : « Et si je modifie un processus qui peut me rendre puissant » ? Pourtant, du pouvoir régalien de battre monnaie, nous sommes passés à une organisation qui enverrait en prison pour escroquerie, tout particulier qui s’y livreraient. Organisation du pouvoir des banques d’émettre de la monnaie, en prêtant de l’argent qu’elles n’ont pas, sous réserve qu’elles se garantissent auprès de la banque centrale, et que tout le monde ne la convertisse pas en de la monnaie fiduciaire.
N’est-ce pas merveilleux la confiance ?
N’est-ce pas la le sommet de la « créativité » ?
Au début les hommes n’avaient rien. Ils créèrent, le troc, puis la monnaie métallique, puis fiduciaire en papier normalisé, puis scripturale, un peu d’encre sur un bout de papier, demain une puce, autant dire plus rien.
Si ! Un capital confiance dans une valeur fictive qui ne vaut que par la crédibilité du fonctionnement de sa structure, et qui constitue un paradoxe, car elle réduit le capital confiance des hommes entre eux.
cordialement.