@ Eloi,
Je ne comprends pas vos inquiétudes concernant l’exil fiscal.
Pour un exilé fiscal (4600 en 10 ans pour 20 milliards de patrimoine), on compte 347 nouveaux émigrés (1 600 000 en 10 ans dont 63% en provenance d’Afrique et dont 76% au titre du regroupement familial) et 1 800 000 naturalisations (dont 67% en provenance d’Afrrique).
Il ne faut pas oublier non plus tous les travailleurs clandestins qui, nous le savons tous, paient rubis sur ongle, tous les impôts sans jamais recevoir quoique ce soit en retour de l’état. Ils vont même jusqu’à s’inventer des identités et des adresse fictives pour que le fisc puisse aisément les retrouver.
En 2006 (derniers chiffres connus), 843 contribuables ont pris le chemin de l’exil, 200 sont revenus (peut être ais je fait partie de ces 200 ?), mais tout cela est largement compensé fiscalement, n’est ce pas ?
Voyez vous, Eloi, le problème n’est pas de payer des impôts, mais de voir comment l’argent des impôts est dépensé et la société dans laquelle cet argent est dépensé.
Dernier point : quand on parle de RSA, RMI, APL, API, on nous montre toujours des cas de femmes séparées ou divorcées ou d’Africaines avec une ribambelle d’enfants (une chance pour la France ?), je me pose la question concernant la douleur engendrée par ces séparations subies ou désirées : est ce à la collectivité de prendre en charge ces problèmes personnels ? Qui est responsable ?
Pourquoi, moi, qui n’ai pas eu la chance de balancer ma tendre et chère épouse, devrais payer pour ceux et celles qui n’ont pas mesuré les conséquences de leurs actes ?
Dites le moi, SVP.