Comme à votre habitude, vous ne pouvez vous empêcher de généraliser sur les « arabo-musulmans ». Termes que je trouve très subtil puisqu’on peut haïr les arabes ou les musulmans peut-être les deux (et souvent les deux) sans être traité de raciste ou d’anti-Islam.
Encore une fois vous avez raison lorsque vous dites que l’esclavagisme existe chez des riches « arabo-musulmans », mais vous essayez de généraliser à une prédisposition à l’esclavagisme de ces mêmes « arabo-musulmans » et cela est complètement grotesque.
Plus que l’argent, c’est le pouvoir qui pousse certaines personnes à pratiquer l’esclavagisme.
Regardez le monde avec oeil plus critique : Ne pensez-vous pas que la condition des salariés dans les usines en Asie n’est pas assimilable à du racisme ?
Mais je voudrai essayer de tirer une sonnette d’alarme sur un esclavagisme plus proche de nous et qui nous concerne tous : La prostitution.
C’est, à mes yeux, la forme la plus ignoble de l’esclavagisme car, elle détruit physiquement et intellectuellement la victime. Elle transforme un être humain en objet de plaisir sexuel (souvent accompagné de maltraitance physique).
Notre pays n’est pas exempt de ce problème. Bien entendu, vous pouvez dire que le sort des prostituées française n’est pas aussi dramatique que ce que je prétends, mais que dites vous des filles des pays de l’est. Enlèvement, destruction psychologique accompagné de viols, menaces sur la famille si elles décident de se rebeller. Après ce « formatage » (je n’ai pas trouvé d’autre mot pour qualifier cette ignominie), elles sont envoyés dans nos beaux pays dit civilisés.
Que pensez-vous du tourisme sexuel au Maroc, où de petites marocaines pouvant avoir 15 ans attendent en bas des hôtels à touristes pour assouvir leurs pulsions de frustrés dans leur vies normal ?
Que pensez-vous du sort des thaïlandais ou autres enfants d’Asie du sud-est ?
Que faisons nous pour combattre cela, à mes yeux pas grand chose. L’ambiance actuelle est plus à chasser l’ « arabo-musulmans », source de tous nos maux, qu’à affronter ce qui nous concerne directement, car dans l’exemple que j’ai cité, nous sommes tous coupables de faire semblant de ne rien voir...