@ Dragonat
Je n’ai aucune envie de me livrer à une promotion quelconque de la production « adamesque ». La pub, c’est pas mon truc, je laisse à d‘autres ces plaisirs délétères. J’écris comme je l’entends. Je n’ai aucune envie de plaire, mais d’intéresser. Je sais parfaitement qu’on ne peut intéresser tout le monde. J’ai fait un choix. Et je l’assume car il me convient parfaitement. Choisir, c’est éliminer...
Certains n’aiment pas mes « crachats à la gueule »... grand bien leur fasse. Moi non plus je n’aime pas leur suffisance, leur ton de donneurs de leçons compassés (surtout avec de bien piètres arguments) et leur agressivité larvée. Que David Adel aille chercher du réconfort du côté du poireau bleu ne peut que me conforter dans mon attitude et dans ma perception du personnage. Pour moi le monde se divise en deux : les gens qui m’intéressent et les autres. Et je ne supporte pas ceux qui affichent un sourire béat devant tout le monde (c’est un des comportements que je trouve le plus débile de la part de bon nombre d’Américains)...
Par principe je suis quelqu’un de pacifique (je ne dis pas « pacifiste » - cherchez la différence). Mais que des abrutis me traitent de raciste parce qu’ils sont incapables de lire un seul de mes textes, me rassure quant à mes jugements. La première forme de respect quand on lit un texte c’est de s’efforcer de le lire tel qu’il a été écrit, et non d’après ses fantasmes. Je remarque avec plaisir que (à l’instar de nombre d’intervenants de qualité) vous n’avez décelé aucun racisme dans mes propos. Alors comment se fait-il que des ignares professionnels sautent au plafond dès l’instant où j’écris « islam » ou « musulman ». Ils ne se rendent même pas compte que ce sont eux qui ont un comportement raciste...
Pour ce qui est de mes « crachats à la gueule » souffrez que tout le monde ne s’exprime pas de la même façon. Quand quelqu’un m’insupporte par son comportement malsain ou haineux, je ne tourne pas autour du pot : je lui crache à la gueule. Ça soulage et ça a l’avantage de bien déblayer le terrain. Ce n’est pas à la mode ? Je m’en fous. Je pense au moins que c’est honnête. J’ai horreur des ronds de jambe et des courbettes. Je n’en ai jamais fait de ma vie, et ce n’est pas ici que je vais commencer.
Si je n’ai pas répondu à vos interrogations, c’est que je ne les avais pas remarquées. Je vous prie de m’en excuser. Vous avez sans doute constaté que je mets un point d’honneur à répondre de façon détaillée à la plupart des intervenants, qu’ils soient en accord ou en désaccord avec mes propos.
Bien à vous. Patrick Adam