@quen_tin
Vous définissez un "bien culturel" comme étant le "résultat d’un projet". Votre définition est incomplète.
Vous opposez bizarrement l’enrichissement d’un individu et sa satisfaction. Pour un économiste, la satisfaction d’un individu induit son enrichissement, induit l’existence d’une valeur reçue par cet individu, induit son enrichissement. Votre opposition entre enrichissement et satisfaction est une contradiction.
Le raisonnement socialiste consiste à considérer que certaines élites sont plus instruite des "vraies" valeur, de la "vraie" richesse" et l’impose au vulgaire, incapable de savoir ce qui est bon pour lui.
C’est ainsi que la raisonnement socialiste considère qu’il est normal confisquer exactement la moitié du salaire d’un smicard pour cotiser à sa place à une assurance retraite et a une assurance-santé. En effet, le coût d’un smicard est de 2000 euros, 1000 euros pour le smicard et 1000 euros pour les officines de l’Etat français.
La raisonnement socialiste considèrent que les citoyens sont trop sots pour sa soucier de leur avenir eux-mêmes, de leur retraite eux-même, de leur santé eux-même. Les citoyens français seraient ainsi presque aussi irresponsables que les plus dépressifs des SDF.
C’est ainsi que le raisonnement socialiste considèrent qu’il faut instruire ces imbéciles de français, en leur donnant, au frais du contribuable, une prétendue "culture", laquelle est, en réalité principalement une propagande étatique.
Le raisonnement socialiste postule la bêtise irresponsable des masses populaires et souhaite le gouvernement d’une élite auto-proclamée qui prendra la moitié de la production des français afin de dépenser, à la place des citoyens lambda, et dans leur intérêt, plus sagement, plus efficacement. C’est évidement une lamentable farce.
Cet aspect du socialisme est une différence majeure avec le libéralisme qui postule la responsabilité de chacun devant sa vie, devant ses décisions, devant ses choix de vie, devant ses préférences individuelles.