@quen_tin
Vous prétendez que la vente du’une pomme produirait des externalités qui pourrait nuire à qq’un. Analyser la vente d’une pomme par des prétendues externalités est peu pertinent. Les intercations entre les individus ne concernent que les biens qui leur appartiennent. Lorsque le vendeur vend une pomme à son client, ces deux échangeurs échangent les droits de propriété de leurs biens respectifs.
Si un tiers considère que son droit sur son bien est violé par cette vente, il devra alors démontrer la nuisance que cette vente lui cause. La réalité est que nul tiers ne prétendra sérieusement que cette vente nuit à qqchose qui lui appartient.
Si cette vente de pomme a une action sur une chose qui n’appartient à personne, cette vente ne nuit à personne.
Vous prétendez qu’il pourrait peut-être exister une externalité négative dans la vente d’une pomme. Or nul plaideur ne pourra valablement attraire ni le vendeur ni l’acheteur devant un Tribunal pour faire valoir que cette vente lui aurait causé une nuisance. Il n’existe donc aucune externalité dans une telle vente de pomme.