@XA
J’ai seulement parlé de l’année de l’investissement (donc effectivement la première année et dans ce calcul il n’y en a pas d’autre), mais ensuite je n’ai parlé que de "cycles" pour les emplois secondaires (qui peuvent être sur quelques mois ou plusieurs années).
Le total des emplois créés et payés initialement (les emplois primaires) ne le sont effectivement que pour une durée d’une année . Mais n’oubliez pas que dans ce calcul (qui a aussi pour but de faire comprendre que ce qu’on nomme "coût" ne l’est pas vraiment), et avec les conditions que j’y ai mises, au terme d’un certain nombre de cycles, l’Etat récupère la totalité de son investissement et peut donc recommencer la manip sans que ca ne "coûte" réellement (si ce n’est du travail et des matières premières).
Bien évidemment le retour dans l’économie sera une fonction de la vitesse de ces cycles... Dans la réalité, on pourrait estimer qu’il y a 2 à 3 cycles par an... (on peut assimiler cet exemple à la vitesse de rotation de la monnaie qui est le PIB / M1 dans notre économie réelle)
S’il n’y a pas, au terme de "l’injection" de l’année de travaux, une nouvelle injection de 10 Md€ pour assurer du travail aux 220000 emplois créés, il est évident qu’il n’y a pas de nouveau chantier pour eux... mais ils auront de toute façon dépensé leurs salaires ce qui induira "les cycles".
J’espère que c’est plus clair pour vous...