• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de ddacoudre

sur Comprendre pourquoi le président signe et persiste


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

ddacoudre ddacoudre 28 février 2009 21:21

bonjour kobayachi

j’ai lu lui et tous les autres ce qui fait, tu en conviendras, beaucoup, chacun d’eux penser détenir la solution pour assurer la pérennité des hommes, et je ne fait pas la critique de leur volonté humaniste de vouloir penser que, de règles théorisés sur la base du respect de la liberté des hommes d’agir pour leur intérêt en homme libre, pouvait englober la totalité des rapports humains.

tous sont voués à échouer car ils reposent sur la préservation du droit à la propriété privé qui inclus la servitude des autres, quel que soit le moment où ils ont dit dans leurs théories, qu’il fallait faire la charité, comme le prévoit aussi les évangiles à qui l’on ne peut reprocher de vouloir le bien de l’humanité, mais qui reconnaissent que l’esclave doit obéir au maitre, et que de ce fait le maitre avait des obligation à son encontre ce qu’a rappelé Moonz au sujet d’Hayck.

la liberté est effectivement que chacun demeure propriétaire de sa propriété privé, à ce titre si je détenais la totalité du territoire, penses tu que ce serait toujours vrai,

ainsi toute théorie est rattrapée par ses limites, où par les apories quelles comportes et qui ne présente pas de risque car elles ne peuvent être atteinte, comme celle que j’ai soulevé.

elle trouve également ses limites par les seules options qu’en appliquent les hommes sur la totalité théorisé, c’est ce que j’ai fais dans ma sélection c’est ce qu’on fait ceux qui ont utilisé la seule part qui justifiaient leur actes.
si tu veux assurer la liberté de commercer librement il faut accepter que chacun doit être propriétaire du rapport de son travail, même quand un autre demande son aide pour parvenir a ses fins, alors il faut rendre a chacun la part de résultat qui lui revient par rapport au capital engagé, ce qui oblige à définir une valeur travail du"proles" comme apport de capital.

alors là seulement l’on se rapprochera du libéralisme économique, et comme tous les autres il aura son terme car il a le défaut d’être pensé par un homme qui ne peut englober la totalité du monde.

merci pour ton commentaire et j’ai noté que tu n’avais pas critiqué le fond.

cordialement.
 


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès