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Commentaire de ddacoudre

sur Comprendre pourquoi le président signe et persiste


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ddacoudre ddacoudre 1er mars 2009 12:28

bonjour sylvain

merci de ta critique. comme tu le soulignes le web ne permet pas d’être sans équivoque dans ses écrits quand l’on veut comme je l’ai fait englober la totalité d’un événement, je t’en donne acte, comme de la pensée de Smith que j’ai résumé par son axiome, mais l’on ne peut tout de même pas dénier qu’il est écrit qu’en poursuivant son intérêt personnel il concourrait à celui collectif mieux que s’il avait voulu le faire, ce qu’a démenti l’existence.
je savais qu’en choisissant d’illustrer nominativement d’où nous tenons la trame de notre système de pensé économique, je me ferais ramasser sur le sujet, puisque j’ai arbitrairement sélectionné ce qui servait ma démonstration.

 

Tes explications, ne démentent pas que ce libéralisme est phagocytaire, il suffit de regarder comment il se comporte quand il est est tout puissant dans les pays en voie d’industrialisation capitaliste, voire d’où nous vient notre crise, car tu me pardonneras de ne pas croire aux boucs émissaires que l’on nous présente.

 

la liberté est effectivement que chacun demeure propriétaire de sa propriété privé, à ce titre si je détenais la totalité du territoire, penses tu que ce serait toujours vrai,

ainsi toute théorie est rattrapée par ses limites, où par les apories quelles comportes et qui ne présente pas de risque car elles ne peuvent être atteinte, comme celle que j’ai soulevé.

elle trouve également ses limites par les seules options qu’en appliquent les hommes sur la totalité théorisé, c’est ce que j’ai fais dans ma sélection c’est ce qu’on fait ceux qui ont utilisé la seule part qui justifiaient leur actes.
si tu veux assurer la liberté de commercer librement il faut accepter que chacun doit être propriétaire du rapport de son travail, même quand un autre demande son aide pour parvenir à ses fins, alors il faut rendre à chacun la part de résultat qui lui revient par rapport au capital engagé, ce qui oblige à définir une valeur travail du"proles" comme apport de capital.

alors là seulement l’on se rapprochera du libéralisme économique, et comme tous les autres il aura son terme car il a le défaut d’être pensé par un homme qui ne peut englober la totalité du monde.

 

Le libéralisme comme nous le pratiquons repose sur la domination, du maitre par rapport aux serviteurs, ceci ne pourra jamais déboucher sur une égalité républicaine, et renverra toujours le libéralisme dans les bras exclusif des puissants.

Nous sommes loin de son aboutissement philosophique, car nous nous évertuons à ne pas retenir les effets pervers qu’engendre tout processus et par lesquels il meurt s’ils ne sait pas les reconnaître comme tels. Le seul fait d’importer la pauvreté des pays concurrent dans la mondialisation en est un, et l’on nous explique que cela est la modernité du à la mondialisation du commerce. Je n’inverserai pas le cours des choses, mais je ne mourrai pas comme un con qu’on abuse.

 

Et dans le débat qui opposent le pouvoir de gouvernance de l’économique ou du politique je suis clair je suis pour celui du peuple avec toutes les imperfections que cela comporte y compris de vouloir confier leur destins à la reconnaissance du ventre, faute d’avoir élevé leur esprit, ce qui conduit à des choix incohérents par rapport aux aspirations qu’il émet.

 

Le libéralisme se portera mieux quand il aura extirpé de son sein le rapport de maitre à esclave qui subsiste toujours, et qu’il aura transformé le rapport patron salarié en partenaire économique créateur d’actif, dont l’exemple le plus proche sont les scops.

 

Cela ne résoudra pas les inégalités du à la distribution de la rareté, si nous n’arrivons pas à penser une autres valeur de l’existence humaine que celle de prédateur. Comme tu le soulignes pour Smith où comme me la souligné Moonz pour Hayck, ils en tenaient compte en ayant le soucis des derniers.

 

Merci d’avoir enrichi l’échange.

 

Cordialement.


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