Tout ce rahut pour un pluriel ou un singulier.
Juste pour rire, pigripi, comment reconnaissez-vous LES femmes ? Non, non, pas d’idéal-type (on devrait dire type idéel, mais passons), sinon on retombe dans LA femme honnie. Seule solution, ne plus parler des femmes mais des humains. Mince, problème à nouveau, comment peut-on prétendre ériger UN humain, ça n’existe pas, diluons tout ça dans LA faune, humains et bêtes, tous égaux sans idéal répressif. Re-mince, alors LE vivant, vu les conneries que nous faisons nous ne valons pas plus que les légumes dont on ne saurait se distinguer par quelques abstractions fumeuse et dangereuse. Re-re-mince, ... Comment voir LES femmes sans avoir d’idée sur LA femme ? Comment constater la diversité sans notion de l’unité
Ou alors, vous pigripi, avez cru que CETTE femme était forcément la caricature stupide que vous en donnez et que j’ai découvert par vous (mais peut-être vis-je dans une autre planète selon vos critères) alors que d’autres comprennent tout autre chose par LA femme que CELLE que vous décrivez. Certains y voient CET être qui porte la vie, aux formes rondement généreuse, d’autres y voient CET être moderne au possible, se définissant elle-même et n’ayant au plus qu’une base biologique à refaçonner, voire seulement une projection culturelle à remodeler, en bonne féministe culturaliste. Il faut vraiment avoir un métérialisme crasseux pour y voir CETTE personne puant sous les bras et plus récemment du minou.
« Agoravox (...) cette plate forme où nous nous ébattons pensant débattre ». Et en plus vous faîtes ces conneries consciemment. Plutôt que de chercher UNE base commune de discussion à partir de laquelle chacun pourrait intégrer le discours de l’autre et en faire une synthèse dépassant les limites des deux points de vue, vous préférez l’affrontement sourd et aveugle, assumé comme tel plus encore. C’est consternant.
Quant au discours féministe que vous avez ajouté sur les chieuses empêchant de boire une bière en regardant bruyamment un match de foot (caricature comparable à votre femme puant des aisselles), je lui répond qu’après la domination culturelle vient la domination politique, pourquoi les femmes qui savent monter de puissant groupes de préssion avec leurs lois sur la parité, loi anti-discriminations de toutes sortes, etc. ne sont capables que de produire des Ségolène Royal et des Martine Aubry dans un PS en ruine, des surdiplômées quand l’école s’effondre et que les experts apparaissent de plus en plus nuls, des sexuellement libérées quand l’asexualité ne cesse de gagner du terrain. Il est où le bonheur du règne féminin ? Elles sont où les femmes libérées prenant le destin commun avec leur supérieur sens du concret ?
Finalement votre intervention, c’est juste un communautarisme où la pensée individuelle est fondue dans l’idéologie collective féministe pour laquelle on mord, en toute absurdité s’il le faut.
Même des féministes voient la femme mince, et je ne parle pas des magazines féminins. L’âge des féministes enragées sans soutien-gorge et aux seins qui tombent est révolu. Rattrapez votre retard.