Comment "quantifier, chiffrer" la valeur de l’école : par les diplômes ? C’est alors avancer que le second au classement ou celui qui n’en possède pas malgré sa scolarité n’est pas savant de quelque chose ou qu’il reste ainsi inutilisable, socialement inutile puisque n’entrant pas dans une case facilement repérable ou prévue...comme la cherche en vain Zezette dans "Le Père Noël est une ordure" ?
Lorsqu’une collectivité publique crée une zône industrielle, les entreprises s’y installent car l’accueil ainsi organisé avec fonds publics le permet, contrairement à un territoire en jachère, désert et vierge de tout aménagements !
Par exemple : les puissances publiques financent ainsi les antennes relais grâce auxquelles les opérateurs de téléphonie, privés, viennent ensuite y "gagner" leurs PIB !
Il en est ainsi de tout notre territoire, très apprécié par les investisseurs industriels privés : qualité des infrastructures publiques de toutes natures, sans "rentabilité" chiffrable, à priori, par la collectivité. Comme l’école qui instruit notre peuple mais dont on ne peut en amont évoquer le "coût" et jamais de son rapport, lequel n’appartient qu’à l’avenir qu’ensemble nous construisons !
Comment également quantifier la rentabilité du RAFALE, mesurer celle d’un CRS : aux nombre de coups de matraques ou de noyés repêchés, aux nombre de bombes lachées pil poil sur la cible choisie, pour le premier ?
Pour terminer sur ce fameux "bonheur", ses coûts et moyens supposés : à combien peut-on estimer le coût induit - provoquée par l’infortune d’un dirigeant NOTOIREMENT COCU - dans ses entourages et son boulot, tandis que la place publique s’en gausse, faute de compassion pour cette victime ?
Si l’on connait par ailleurs le prix de chaque chose on ignore ici souvent la valeur de celles-ci et le bonheur - voir Proust - est de ce genre-là et la qualité de la vie - puisque tel était l’article - est effectivement la résultante de toutes ces "petits bonheurs, ces petits conforts" cumulés mais, effectivement, on croisera ceux des verres à moitié vide et à moitié plein et là, la politique reprendra le dessus...toujours démocratiquement, espérons-le !!!