Le parallelisme que vous proposez ne marche pas... la preuve :
Nous avons elu Nicolas Sarkozy et ses décisions s’imposent a nous, de par sa légitimité et surtout par la non description des options qui n’existent pas encore.
Prenons comme exemple ... la crise ! il n’en avait pas parlé pendant sa campagne, elle n’existait pas. en l’envoyant a l’élysée nous avons validé, qu’en cas de crise, ce sera celui qui nous representera le mieux et ses décisions se justifieront. On voit ou nous en sommes, il y a ceux qui veulent la relance par la consommation, d’autres par l’investissement ou encore les deuux !... mais c’est son avis qui prime.
A la prochaine election nous choisirons d’autres representants, qui agiront en notre nom sur des sujets qui ne sont pas encore d’actualité.
A moins d’etre Suisse comme il est décrit dans l’article, il n’y a rien a faire.
Ce qu’il faut retenir, c’est que LE CHOIX D’UN REPRESENTANT EST CAPITAL dans le fonctionnement de notre société. Or, ni ceux qui se presentent (et qui ne respectent pas la ligne pour laquelle ils ont été elu) ou ceux qui votent (et qui ne decrypte pas le message du candidat) aucun donc ne fonctionne correctement...
Je l’ai déjà dis ailleurs.... tirage au sort !