De toutes façons, quoi que tu écrives, ils se bouchent les yeux. Ce qu’ils voudraient, c’est une censure de l’espéranto.
Il est inutile de perdre son temps et, le mieux, c’est de donner des informations avec des références car, de leur côté, c’est le zéro absolu.,
Je reconnais que c’est du gâchis de temps et de forces, quoique, à mon avis, il n’y a pas lieu de laisser souiller une idée. . Ce n’est pas dans ma nature de discuter avec des brouettes. Le niveau de facilité de l’espéranto, c’est sur le terrain que ça se mesure et se constate,
Ainsi, lorsque Claude Hagège affirme avec une lourde insistance que l’espéranto de facto, c’est l’anglais, il y a tromperie sur l’appellation.
Il conduit à penser qu’il n’a rien compris de l’idée, du principe et de la vocation de l’espéranto.
En plus, il se contredit et contribue au renforcement de la position de l’anglais en laissant entendre que la situation est irréversible, qu’il n’y a pas d’alternative. En effet, il a lui-même souligné que l’espéranto est la langue d’aucun État, et qu’il s’agit là d’un avantage important. Or, l’anglais est, lui, la langue d’un certain nombre d’États, et en premier lieu de celui qui mène le monde à son gré.
L’espéranto propose au monde la langue de non-alignement dont il a besoin. Il est de loin plus accessible à toutes les couches sociales dans quelque zone géographique et linguistique que ce soit. C’est loin d’être le cas pour l’anglais. Même La Voix de l’Amérique reconnaît sa difficulté.
Aucun espérantiste, à ma connaissance ne conteste la place de l’anglais par le nombre d’usagers natif ou non. Par contre toute personne qui a étudié et pratiqué les deux langues sait pertinemment que l’investissement pour la première est excessif par rapport au service apporté et que l’on pourrait atteindre beaucoup mieux à moins cher. .