bonjour jules
en te lisant on sent bien une certaine maitrise du sujet, aborder les comportements de masse, sur un sujet comme la sécurité routière est intéressant car il comporte des seuils que ne prend pas en compte l’action répréssive, c’est l’inadéquation entre les performances des vhéicules, l’insuffisance des circuits routiers au regard du nombre d’utilisateurs et des performances sécuritaires des véhicules, et de la maitrise des conducteurs comme des atavismes biologiques (incapacité à avoir une attention soutenu et autres), ceux ci sont des élément qui vont faire stagner les résultats et accroitre la sévérité et ainsi atteindre un seuil de criminologie, qui fera passer du comportement de masse d’insivilité rouière à un comportement criminogéne, parce que la communauté aura admis par exemple zero d’alcoolémie et elle n’en retiendra que l’infraction aussi minime soit telle, si l’étude causale ne se mesure plus qu’aux réalités biologiques de comportements théoriques qu’il faut acquérir.
ton analyse est interesante, mais tous n’est pas transmissible à tous les domaines, on ne peut pas considérer que la nuissance à autrui dans un accident est comparable à celle causé aux créateurs en matière de teléchargement.j’ai eu l’occasion de l’écrire dans un commentaire, quand le cinéma à détruit les cirques, l’on n’a pas fait une loi pour interdire les comportements de masse qui ont installer la suprématie cinémathéque, ni quand la télé c’est installé, ni quand le magnétoscope est apparu. il n’y a donc que délits et crimes social comme tu le dis que lorsque les masses se reconnaissent dans la justification de l’interdit.
mais tous interdits ne se jugent pas de la même manière sans cela nous aurions des interdits imuables ce qui n’est pas le cas, et rend absurde le dogme de la répression qui ne constitue en rien une justice si tant soit peu que cela existe. l’étude de milgrand sur l’obéissance vient démontrer le suivisme des masses, et leur difficulté à être critiques, heureusement car il n’y aurait sans cela pas de phénomène de masse.
cordialement.