Procès d’intention.
Agir dans la discrétion ne veut absolument pas dire financer un état ou son armée.
Il peut s’agir simplement du cadre familial (amis, connaissance) et des discussion qui s’ensuivent.
Ou d’échanges de courrier, d’e-mails avec d’autres intervenants.
Ou de la participation à une ou plusieurs associations en rapport avec le conflit israëlo-palestinien...
Vos propos ne relèvent pas, heureusement, de la diffamation vu que financer un état et/ou l’armée d’un état reconnu par l’ONU n’est pas en soi un fait diffamant.
Ils relèvent juste d’une mauvaise foi crasse.
Quant aux préjugés, encore une fois, procès d’intention.
Il peut s’agir de préjugés antisémites ( main-mise d’Israël sur la marche du monde, sur les médias, sur bla bla bla,...) ou autres.
De plus, le fait d’avoir des convictions personnelles sur un conflit, une situation géo-politique fait partie des droits individuels.
Vouloir interdire à cet individu d’exercer sa profession en raison de ces opinions (qui, en plus, ne sont pas publiques) est une atteinte à ce droit.
Je précise qu’elles ne sont pas publics car quand bien même Arthur affirmerait qu’il finance Tsahal et soutient l’Etat d’Israël dans tous les cas de figure, il en aurait parfaitement le droit.
Il n’aurait pas forcément raison (encore heureux) mais harceler une personne et l’empêcher de travailler pour ses convictions politiques va à l’encontre de bon nombres de conventions, lois et autres joyeusetés.
D’où une question plus général : Qu’en a-t-on à foutre qu’Arthur pense ceci ou cela ? Le fait qu’Arthur soit sioniste ou non va enclencher une nouvelle flambée de violence ?