Zaka, je vous cite :
"Faux. Borel utilise un raisonnement à postériori. Je jette 30 fois une pièce, j’obtiens une combinaison. Que cette combinaison signifie quelque chose ou non, j’ai une chance sur un milliard de l’obtenir. Miraculeux, non ? Et bien pour la génétique, c’est pareil. Si vous regardez une combinaison ADN, les chances de l’obtenir en un coup sont infimes. Mais si vous tenez compte des trois milliard d’années, avec tous les essais, toutes les mutations, cela n’a plus rien d’exceptionnel. Surtout quand une mutation viable et interressante donne un avantage à l’organisme en question. "
Borel démontre bien que l’approche statistique est fausse.
Finalement, vous aussi, vous croyez au miracle. Vous ne recherchez pas le problème de l’émergence de la vie, vous le repoussez à plusieurs milliards d’années en arrière, donnant un vague principe d’évolution, mais vous ne l’expliquez pas. C’est une théologie.
Vous êtes enfermé dans le dogme mécaniste, votre représentation se borne à envisager des petits chocs élastiques entre des petites billes, puis à venir avec votre attirail statistique approximatif. Hors de ce dogme, il y a l’ambre, qui, frottée, fait des éteincelles.
La vie, obéit à un principe physique précis. Celui-ci pourrait s’évanouir des équations basée sur des moyennes.
La voie immédiate de recherche, c’est l’électricité, mère de la chimie. Elle fourni l’énergie aux plantes pour pousser, elle nous permet de nous mouvoir et de penser. Même à la reproduction, on la sent fortement passer, quelque part.
L’état physique de plasma est très instructif. Il réagit de manière collective, en filamment hélicoïdaux, souvent, en grappes parfois.
Dans ce cas, l’électricité, dans certaines configurations de champs, omni-présente dans l’environnement, fait s’organiser spontanément les molécules biologiques.
Dieu, Jupiter, Zeus, Toutatis, Odin, l’esprit-saint, la foudre, le plasma, l’électricité, la vie.