Et bien, si vous lisiez Kepler, Leibniz ou Pascal, vous verriez que le concept de Dieu n’a en rien été un obstacle pour eux, mais plutôt un concept qu’ils ont abondamment utilisés pour leur découverte.
Mais, tout dépend de la conception de Dieu.
Pour Kepler, Dieu était perfection et harmonie
Pour Pascal, Dieu était le tout et la cohérence du monde
Pour Leibiniz, Dieu était dynamique et mobile .
J’en oublie certainement.
Il suffit de dire que l’Univers est Dieu. Puis d’utiliser Dieu comme allégorie de l’Univers. C’était la conception à l’époque. Nous sommes biens crées par l’Univers, non ?
Le Dieu chrétien, c’est le concept de la cohérence de l’univers, son absence d’étrangeté et de surnaturel. C’est aussi, puisque nous sommes à son image, la possibilité qui nous est offerte de le comprendre et de le façonner. Je trouve cela valide.
La science ne remonte pas dans le passé. Elle l’interprète, l’imagine, en prolongant par continuité les données récoltées au présent en fonction des concepts contemporains.
Il est faux de dire que la science connait le passé.
Pour les darwiniens, le monde est quasi-mort, quasi-immobile, quasi-statique, l’Univers (donc Dieu) évolue au hasard, de manière arbitraire. Or, Dieu ne joue pas aux Dés.
Il y a des principes physiques. Ils sont à découvrir, encore aujourd’hui.
Le Darwinisme est une impasse, c’est un voile teinté de morbidité et de racisme placé sur la science. Invérifiable, irréfutable, c’est une pseudo-science.