Encore et toujours le statut victimaire, le même qui permet aux Israëliens de maintenir leur état colonial et apartheid...
"discrimination des femmes à l’embauche" :
Quant à toutes les discriminations que vous citez, j’aimerais bien connaitre les chiffres, car je vois mal comment quantifier les discriminations à l’embauche, je dirais même que c’est totalement impossible sauf à filmer en caméra cachée tous les entretiens qui se déroulent tous les jours...Et pour les femmes refusées pour une possible grossesse, combien sont-elles à être embauchées parce qu’elles attirent plus le client, parce qu’elles ont un joli sourire ou simplement parce qu’elles font bander le patron ?
"discrimination des salaires (femmes plus instruites/hommes mieux payés" :
Etre instruit n’apporte pas forcément de l’argent, avec un doctorat en philosophie on ne peut jamais qu’être prof de philo, et même en fac, on gagne moins qu’un homme rentré dans une boite avec un BTS de marketing et qui a monté jusqu’au sommet. Je ne sais pas si c’est juste ou pas, mais je pense que nos sociétés récompensent financièrement plus les dirigeants, les leaders, les décideurs que les personnes les plus instruites.
"discrimination au temps de travail (femmes à temps partiel)"
Là encore j’aimerais avoir vos chiffres. Et vous ne précisez pas c’est du temps partiel imposé ou choisit. Si c’est la deuxième proposition, on peut imaginer que les femmes prennent plus de temps partiel pour s’occuper des enfants et dans ce cas, je ne vois pas trop ce qu’on peut faire à part mettre les foetus en couveuse pour toute la grossesse et déléguer l’éducation et la surveillance des enfants à des machines.
"discrimination sur le plan des retraites (années d’éducation des enfants non prises en compte)"
Désolé de vous dire ça, mais éduquer des enfants ne produit pas de richesses directement et ne demande pas de formation (ce qui ne veut pas dire que ce n’est pas difficile) alors je vois mal comment on pourrait considérer cela comme un travail et une cotisation sociale. Et si l’enfant d’une femme finit en taule, est-ce qu’elle devrait perdre ses années de cotisation ? Parce qu’il n’a rien rapporté à la société, il lui à même couté ! Et dans ce cas, à partir de quand est-ce qu’un enfant est bien éduqué ? Est-ce qu’ouvrier ça va ? Et Chômeur ? Vous voyez ou cette logique nous mène...
"discrimination au niveau des carrières (plafond de verre)"
Voir mes deux premiers points
"discrimination des filles dès l’orientation des études (scientifiques)"
Là pour une fois c’est effectivement assez facile d’avoir les chiffres vu que l’éducation est (encore) publique, et je suis d’accord avec vous sur le constat : il y a moins de filles dans les filières scientifques. Et alors ? Ca ne prouve rien. Peut-être que les garçons à partir de la puberté sont plus intéressés et/ou meilleurs dans ces domaines que les filles, pas à cause de la méchante société patriarcale, mais à cause de la structure même du cerveau qui est différente. Je ne trouve pas ça révoltant que chacun se dirige vers le domaine qui lui plait ou où il réussit le mieux. Bien sûr ce ne sont pas des lois intangibles, j’ai moi-même fait L, mais les garçons y étaient largement minoritaires...
"discrimination sur le plan des patrimoines"
Je ne vois pas de quoi vous voulez parler, pouvez-vous préciser ?
De manière générale je trouve que votre pensée (et la dominante mais c’est la même) nie les différences physiologiques entre l’homme et la femme. Cette dernière a pour rôle dans l’espèce (vu que chaque espèce a pour but sa propre perpétuation) de produire des enfants, prétendre l’inverse est stupide et contraire aux intérêts même de l’Humanité. A partir de là, je vois mal comment l’égalité parfaite pourrait être atteinte, sauf à supprimer les enfants, ce qui n’est ni possible ni souhaitable. De plus, les différences de capacités intellectuelles sont naturelles et ont été expliquées : les hommes étaient du fait de leur force physique étaient meilleurs chasseurs/cueuilleurs/travailleurs que les femmes qui étaient en plus handicapées par la présence obligatoire des enfants pour cause d’allaitements et de surveillance (dans une société sans moyen de contraceptions). A partir de là, les hommes ont logiquement développés leur capacité de spatialisation (utiles en mathématiques : géométrie) et d’abstraction : imaginer comment va réagir cet animal, comment on va pouvoir le prendre à revers...c’est-à-dire développer la capacité de représentation et de résolution de problèmes complexes, c’est-à-dire utiliser un raisonnement scientifique. Les femmes avaient d’autres problèmes à résoudre : l’éducation des enfants et les relations entre membres de la tribu, elles ont donc développées leurs capacités de communication et de comphrésion des autres êtres humains. Voilà pourquoi on les retrouve plus nombreuses en sciences humaines.
Ce n’est pas maschiste ou idéologique de dire ça, c’est simplement du bon sens et de la logique. Les hommes et les femmes ne sont pas supérieurs ou inférieurs aux autres, mais différents et complémentaires.