Je ne crois pas avoir
mauvais caractère et je pense faire preuve d’une grande patience.
Si j’interprète mal vos
sous-entendus, c’est justement par ce que ce sont des sous-entendus et qu’ils
peuvent être interprétés suivant toute une gradation.
C’est justement pour cela
que je m’efforce de vous demander quels sont vos réels griefs et sur quels
faits précis vous vous fondez pour les formuler. Rien de plus. Vos réponses correspondraient
alors à une démarche rationnelle.
Mais en l’absence d’un
commencement de réponse, vos critiques sont pures spéculations et irrationnelles.
Pour le reste, c’est un
autre débat. Je n’oublie pas quel est le point de départ de cette discussion :
Benoît XVI serait un néo-nazi parce qu’il publie ses textes dans une revue
facho. Ceci est bien de la calomnie !
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Pour votre référence à PACEM IN TERRIS, je ne peux que l’approuver.
Toutefois, il faut la lire dans son ensemble et lire le passage également dans
son intégralité :
L’autorité exigée par l’ordre moral émane de Dieu. Si donc il
arrive aux dirigeants d’édicter des lois ou de prendre des mesures contraires à
cet ordre moral et par conséquent, à la volonté divine, ces dispositions ne
peuvent obliger les consciences, car « il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux
hommes ». Bien plus, en pareil cas, l’autorité cesse d’être elle-même et
dégénère en oppression. « La législation humaine ne revêt le caractère de loi qu’autant
qu’elle se conforme à la juste raison ; d’où il appert qu’elle tient sa vigueur
de la loi éternelle. Mais dans la mesure où elle s’écarte de la raison, on la déclare
injuste, elle ne vérifie pas la notion de loi, elle est plutôt une forme de la
violence. »