Je vous avais affirmé être d’accord, sur la fond avec l’initiative NYCCAN.
La ou j’avais du mal, ce sont sur les détails de la mise en place. J’ai détaillé mon point de vue sur hardware il y a quelques semaines.
Mais, en gros,
1.La législation NY/fédérale ne le permet pas. Le champ d’application de ces référendums est très restreint et uniquement pour des lois locales. (Interroger des fonctionnaires fédéraux, c’est très loin du niveau local)
2.Les personnes composant la commission sont, presque toutes, des trooffeurs notoires et donc absolument pas objectif. Si au moins on faisait 50/50...Et je passe sur le manque de compétences...
Mais les objectifs ( répondre aux questions unanswered par la commission) sont louables.
Après, au niveau de la thermite, les articles sont en cours de rédaction ( j’ai pris du retard à cause du TFE). J’ai terminé la forme, le fond est bien engagé.
De plus, il faudra un jour ou l’autre distinguer les deux approches : scientifique et « judiciaire ».
L’un est lié à l’autre dans le sens où si un consensus scientifique se dégage sur les faits et qu’il ne cadre pas avec la vérité judiciaire...on a un léger problème et on peut demander la réouverture de l’enquête.
Sauf que, le consensus scientifique actuel ne remet pas en question l’interprétation judiciaire qui en est faite.
Et la vérité judiciaire est, pour l’instant, tout aussi claire : condamnation de ZM et d’un autre en allemagne dont j’ai oublié le nom.
Si vous voulez justifier la réouverture, il faut autre chose qu’une liste. Il faut que ces personnes apportent des éléments. Or, ce n’est pas le cas.
Analysez leurs écrits, vous verrez qu’ils sortent souvent de leur champ de compétences et affirment des faits scientifiquement infondés ou sans preuves.
Il y a certains aspects qui ne sont pas à jeter et ils concernent avant tout l’incompétence des différents services et le manque de sanctions.
Donc, si vous pouviez me fournir, avec cette liste, les éléments qui leur permettent d’avoir un doute légitime, ça m’intéresse.
Car ce n’est pas parce que des centaines de personnes ont un doute qu’il est légitime.
P.S. : Quelques détails sur la thermite...La première étape d’une recherche scientifique, c’est de déterminer que ce que l’on cherche a une application dans les faits/les observations. La deuxième étape, c’est d’avoir des échantillons/matériels corrects.
Ces deux premiers points sont déjà totalement absents de la « controverse thermitique ».