Il est étonnant que certains groupes comme l’UNADFI, qui sont constitués en associations, bénéficient de privilèges que n’ont pas les autres associations. A savoir, des financements de l’Etat, donc des contribuables. L’intérêt d’une association est qu’elle soit soutenue et financée pas ses membres. Effectivement, une association est un regroupement de citoyens qui forment ensemble un objectif, en général, positif pour la société. Et si l’objectif est bien défini et reçoit le soutien du plus grand nombre, l’association devient prospère, accroît son nombre de membres et dégage suffisamment d’argent pour financer ses actions. C’est intéressant, parce que c’est une vraie initiative citoyenne qui marque son indépendance. Elle peut parfois « donner une leçon » aux pouvoirs publics en défendant une cause importante ou en résolvant un vrai problème de société. C’est la qualité du message et des objectifs qui va accroître la popularité d’une association. Mais parfois, les dés sont pipés. Une association va être soutenue de façon plus ou moins souterraine par des organismes d’Etat afin de servir quelque sombre dessein. Pourquoi ?. Pour servir des intérêts privés qui ne peuvent pas se montrer au grand jour.
Alors, ces histoires de « sectes » ? Si l’on écoutait l’UNADFI, il faudrait éradiquer tout ce qui n’est pas religion officielle, médecine officielle, croyance officielle, éducation officielle, etc.
Bref, nous avons affaire ici au spectre de l’immobilisme. Rien ne doit changer.
Tout doit rester pareil. Eradiquons les différences.
M’enfin, qu’est-ce que ça peut faire qu’un bonhomme veuille se soigner pas les plantes ?
Ou décide que nous sommes descendants d’extra-terrestres ? Ou se retire pour contempler le soleil ? L’Homme est libre. Il doit le rester. Le genre ’associations du type UNADFI ne l’y aide pas.