Les débats à ce sujet sont très nombreux aux USA. Mais ils sont également extrêmement tendus.
Il y a plusieurs thèmes qui s’entremêlent :
- le VIH existe-t-il en tant qu’entité responsable à elle seule du Sida (cause nécessaire et suffisante) ? Rien que les propos du Pr. Montagnier dans le trailer de House of Numbers cité par David Krauss ci-dessus portent à penser qu’il n’en est rien et qu’en tous cas, il n’est pas la cause suffisante.
C’est vraiment le thème le plus controversé, et c’est celui qui déclenche les polémiques les plus acharnées. Il suffit de lire divers blogs et forums de discussion américains pour s’en rendre compte :
D’abord chez les tenants de la vérité officielle :
aidstruth
Le blog de Tara Smith
Maintenant chez les contestataires :
Le blog de Henri Bauer
Le forum le plus étoffé et le plus ancien : Aidsmythexposed.
Les polémiques y sont parfois rudes.
Le blog de Clark Baker, nouveau venu dans la contestation. Lire en particulier Gallo Eggs.
Trois sites d’archives et dinformations :
Virusmyth, l’ancêtre.
Le site de David Crowe, président de Rethinkingaids.
Le site du groupe de Perth.
Si vous en avez le courage et le temps, vous pouvez lire le débat en ligne qui s’est déroulé du 28 février 2003 au 17 avril 2005 sur le site du British Medical journal.
Vous constaterez que les opinions sont bien diverses, les contestataires étant eux-même divisés sur cette question de l’existence du VIH. Le point commun que l’on peut leur trouver réside dans le fait qu’ils estiment que le VIH n’est pas la véritable cause du sida.
- en ce qui concerne l’action des médicaments et la découverte sans cesse repoussée d’un vaccin, elles pourraient certes s’expliquer par des considérations de marketing, mais l’approche des contestataires font découvrir ce problème sous un tout autre angle, à savoir qu’il est peut-être impossible de trouver un vaccin dans le sens classique du terme.
Je voudrais cependant donner un lien en français, où ces choses sont quelques peu résumées, parfois trop technique et avec des exemples un peu anciens certes, mais encore d’actualité.