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Commentaire de janequin

sur Examen critique du concept de VIH


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janequin 16 octobre 2009 18:09

En parlant de dissidence, je pense essentiellement à Peter Duesberg (qui même mis au ban de la communauté scientifique, intéresse toujours par ses études sur l’aneuploïdie), et un groupe de scientifiques australiens qui se surnomme « le groupe de Perth »

En réfléchissant bien, ces deux tendances sont diamétralement opposées, et présentent des incohérences opposées. Le premier parle de virus sans même de relation avec le sida, et donc contredit toutes les observations scientifiques (car il n’accepte la corrélation « marqueurs-sida ». Les seconds, pour éviter cette incohérence, nient toute existence au VIH en tant que tel, ce qui est expérimentalement erroné.

Le problème est que tous ces gens, et les gens qui les suivent, ne gardent pas la tête froide. pas plus d’ailleurs que l’orthodoxie qui les contredits.

mais les contradictions ne manquent pas non plus du côté de l’orthodoxie. Pour ma part, j’avais relevé une contradiction dans l’application de la chimie elle-même dans le document sensé prouver le mécanisme d’action de l’AZT et de la résistance qui pouvait apparaître. j’en ai longtemps discuté avec un biologiste, en argumentant par rapport à la structure électronique même des substances qui intervenaient.

C’est un peu pour cela, pour essayer de trouver une théorie plus cohérente, que j’ai étudié ces peroxynitrites.

Vous dites que tous les cas de sida ne peuvent être associés à des substances provoquant la formation de peroxynitrites.

Sachez cependant que de nombreux antibiotiques, donnés pourtant couramment, le font très bien : ce sont tous les dérivés nitrés (chloramphénicol, nitrofurantoïne, métronidazole,...), les oximes et éther d’oxime (céfixime,...), les isoxazoles (sulfaméthoxazole du bactrim). (il faut que je retrouve le papier d’électrochimie qui en parle)

Il réagissent d’ailleurs facilement avec le glutathion en l’oxydant de manière irréversible. Si on exagère les doses..., et cela doit bien arriver quand la maladie ne veut pas céder un pouce de terrain !

Vous dites que nous sommes d’accord : « le VIH cause le Sida ». Pas si sûr. Il accompagnerait le sida en étant un effecteur de l’apoptose, mais sans être le principal responsable. Celui-ci serait, selon moi, les peroxynitrites.


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