bonjour ça dérange
bon article sur un sujet délicat qui touche aux peurs, à l’ignorance, à la limite de nos perceptions sensoriels, et est un pied de nez à l’imaginaire libre arbitre dont la perception erroné est une condition sine quanum nous permettant de faire des choix.
la nature nous a doté des moyens sensoriel de percevoir ce qui nous est nuisible comme n’importe lequel des animaux, sauf que le développement de notre culture depuis l’âge de pierre c’est appuyé sur le développement du savoir et de sa transmission imparfaite et incomplète d’une génération à l’autre, avec les effondrements civilisationnels qu’ils ont connu comme pour préfigurer la dimention de notre suffissance, et ainsi offrir un nouveau départ sur les restes qui sont demeurés.
sous cette observation le principe de précaussion devient destructeur, tout comme la tolérance Zéro cela ne peut provenir que de cerveau apeuré par la mort, vivant dans un monde schizophrénique qui se construit par la culture et devient à un moment comme je le dis plus haut invivable, et que la nature élimine.
notre problème provient plus de l’entassement humain dans une urbanisation névrosante qui altère la sociabilité humaine nécessaire à notre concentration, et fait rejetter de fait le discernement utile à la preception de cet enchevrettement humain car notre cerveau soumis à la pression et à la solicitation permanente ne trouve jamais le temps d’une retraite pour la réflexion, hormis quand nous tombons gravement malade où qu’un drame survient.
se protéger des risques est un comportement sain, et je ne partage pas ton avis la dessus, mêmes si certains en font leur pré carré, nous disposons des outils pour limiter les risques potentiels de notre activité transformatrice qui échappe à nos sens et de ce fait rend dangeureuse des applications qui nous affectes et dont nous ne pouvons ressentir leurs effets nocifs que quand elles les ont développés.
il devient alors trop tard pour modifier les événements qui y ont concouru car il n’y a jamais de retour en arrière. Il ne reste alors que la protection individuelle contre les effets nocifs que nous avons mis en place. et ceci demande d’avoir une capacité d’analyse précise pour ne pas tomber dans l’absurdité que tu dénonces, les scientifiques sont là aussi pour cela.
reste le problème de l’appretiation du risque, lors de la mise en oeuvre industrielle d’un produit. ceci complique ce travail non parce qu’il découle de la complexité croissante de nos connaissances en matières de nuisances acceptables et donc n’ayant un effet nocif qu’au delà de l’espèrance de vie ou sur des cas spécifiques, mais parce que la mise en oeuvre de la fiabilité de l’innovation devient plus coûteuse, et ne se marie pas forcément avec la compétition économique du moment.
Où alors que notre capitalisme est contraint de devenir adulte en assumant les risques de sa production, ses dirigeants ne voient qu’une contrainte qui les poussent à expatrier leur productions vers des pays moins regardant, et fuir ainsi leur responsabilité d’humain vis a vis de leur semblable.
la « moralité » est une invention culturelle pour réguler notre multitude si elle disparait nous retomberons dans un cloaque destructeur. c’est à cela que conduit l’individualisme car le développement de notre égo ne se fait que dans le regard des autres, et il ne peut se batir sur le rejet.
en tout ceci il y a la place pour évoluer sans tomber dans l’élimination, rassurante et stupide que nous connaissons, dont l’objet est d’utiliser la seule mesure accéssible à l’action de Mr tout le monde car le reste lui échappe, et se persuader ainsi de son efficacité par une activité thématique sur laquelle surfent les politiques face à leurs impuissances d’inverser l’évolution mondiale’ qui c’est construite sur les milliards d’actions que nous avons réalisé et donc les effets se poursuivent.
nous sommes bien comme tu le dis dans le cadre de la peur de ce que nous avons mis en oeuvre qui se traduit par le cri de l’on ne veut pas mourrir à chaque drame, presque élevé en culte, par sa théatralisation médiatique. il y a de grande chance que cette peur nous tue, car elle développe l’intransigeance, l’élimination et la fuite. tout l’inverse de ce qui est nécessaire pour affronter la complexité.
cordialement.
24/10 11:20 - ddacoudre
re désolé je n’ai passé le correcteur qu’après l’envoie. (...)
24/10 11:16 - ddacoudre
bonjour ça dérange bon article sur un sujet délicat qui touche aux peurs, à l’ignorance, (...)
23/10 16:30 - finael
Palsambleu ! Me voilà passé « lobbyiste » ! Quel honneur ! Je parle du feu et de la roue, et (...)
23/10 16:04 - Rough
@jeannot....J’aime bien quand des gugusses comme toi viennent étaler leur incompétence et (...)
23/10 15:30 - jeans
A Fedaykin, Panzerfaust et autres Rough Vous avez raison, il faut supprimer le principe de (...)
23/10 13:36 - Fedaykin
En effet, le principe de précaution est une absurdité, et c’est typiquement une lubie des (...)
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